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toujours vitale de l'éducation. »
he. … Seront aussi les bienvenus à ce conÿrès tous ceux qui, :
h de près ou de loin, s'intéressent à cette question. Pis *
el 20 T-A. DAIGNAULT.
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Bernicot trouvait que cela lui prenait
du tempa. ;: Quand it jeta un coup d'oeil ç 3
"pour vôir s'il:revenaié, il apèrçut Sa L 2 ù there
ldu awec un fusll qui le mettait en
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m2 a 2e per ét demanda.ce qu'il y avait. Pour iou- ag à RER
paroisses -euvolént bdinombre delt®. 'épohse, Salou épaule egn fuail et | note: 3 men 31, us
£ tira. Le Frère D'Amour mourut ins-| 1—La GrandeBretagne refuse, de premier Es
. ; TA faut que la con-
a de l'A. O, F. C: obtienne un
qui dépassé encore les conven-
tantanément. Le meurtrier s'ésigna teconhalire que la France ne palèrà vait 39,000
alors, on ne sait dans quelle direction, | qu'en proportion de ce qu'elle recevra +
à cause de l'émoi qui régnait. de l'Allemagne en vertu du plan
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parlant aînsi interpète | : La police fut appelée sur les lieux | Dawes;
des pren e y À compa.. | tt u9® heure après environ elle trou- 2—Afiñ de faciliter le rembourse. |. * + Se "x - trône, -M.
(7 SR do nr Cd vait le corps de Salou dans le bois à | ment, la Grande-Bretagne consent à | reseicice, ia {> : Fe 18. : Ps RAA QC : âttirés
:.Vénon en foule à la. convention qui té centaine de verges da l'étable. Le | accepter des annuités fixes sans Sgard |; 3 PRÉCISE ROSE ER : | RM 2 j a
Ifialheureux s'était tiré au coeur en |aux reyénus du plan Daweé et à doi:
pressant la détente du fusil éontre uu | ñer la préférence à la France dans ces
arbuste. revenus; var
On fe voit aucune raison du crime; 3—La Grande-Bretagne consacrera
Îl n'ya pas èu de quérelle ni aucune | tout surplüs non affecté à sa dette aux
indication d'ennut- On que! Etats-Unis à diminuer le fardesn qui
te meurtrier ést devenu ‘subitement | pèse sur les alliés de la Grande-Brets
fou. gne. . , ! | président Chamb
Le Frère D'Amour, la victime, était}. Paris — Les joursaux français com- craie ers” de la Saskatchewan a décidé l'br-
à l'école indienne de Kenora depuis | mentent re le 108 conct| , gp 4 à ganisation d'en “hoo!” pour la vente
dix septans; il était très attaché à | liant de la note britannique à tre 3 A agen gs des oeufs et_ des volail’es.
l'oeuvre et très aimé des élèves. la France relativement à la question grès Del, we plis ai 56 pré ——-
“Yves Bernicot, qui a été blessé, pour- | des dettes’ interalliées. Mais on dit À 3 cl aucune raison EDMONTON — Le lieutenant-gou-
ra vraisemblablement se remettre. |que ses t1érmes laissent planer des dou}, éte pe re y repines-d vernear Brett, qui est parti pou Mont-
020 0 — te considérables si elle ne done pas ges der A8 réal, n'ouvrira pas la législature jeudi
"| Les écoles du Manitoba for | lex à des malentendus. En retour,
Ford fabriquere pour le gouvernement |.
un nouveau genre de dirigeable. . Cès
est offerte de noùs mieux connaître
machines serviront à transporter des |-
et de nous cofcerter pour travailler
.« dans l'union et, la concorde A la, s
vegarde de nos droits et des intérêts
d notre groupe, \
_ Donnos à tous, À cette occasion, le
bpectaclie de l'entente corélale, et pour
se rendre à la convention, et pour @n-
visager toutes les questions qui nous
ans C'était un avocat d'une grande
soulevées pat la préseñtation| REGINA — Le premier envoi de 1j- | "‘P"tation. re 2
tre!" ment insuffisamment | nn de Macarons | 42 budget et l'on a pe en commencer | quéurs destinées aux magasins da gou-
— -_—22D0-0— —— — les élèves ‘ l'étude, article par articlé, en comité! vernement de la Saskatchewan partira
Con des Co j : -)f x ee: » K plénier. d'Ecvsse le 19 février.
TS À: FR Deacon à comparu- devant le : La question des élections &
res d'école dé la Sas- | 354 chargé de 1a révision au pro-| Une raffinerie d'un million} Au cours de la même séance, 27| MEGINA — Les “Grain Growers” de
gramme scolaire, au nom de l'Associa- pour l'Alberta Haig, conservateur, (Winnipeg) a de-|1* Saskatchewan et les. Fermiers- Unis
LA J a ——
tion des Mänufacturiers canadiens. Il si le gouvernemet avait J'in- | = Manitobe ei de l'Alberta ont retenu
à déclaré qu'un grand nombre des élè-| Lethbridge, Alta — L"Utah-1dsho de présenter un bill de redis | les services de H-J. Syÿmington, CR,
ves formés par les écoles ont une ins- | Co.” de Salt Lase Uxy, vs. commen | tribuiion avant les-élyctions générales | P°u7 Drotéger Les intérêts des fermiers
- | truction insuffisante au moment où is |cer immédiatement le consteuction | et si celles-ci se ferzient pendant jeté | de l'Ouest dans la revision de la 1oj
commencent à travailler dang les bu-| d'use raffinerie de sucre d'un million | prochain M Bracken à répondu aux du rain
reaux, Beaucoup de sténographes à | à Raymond. Les fermiers du sud de | deux questions d'une façon pluidt éva- nt‘. %
-| 14 recherche de positions, atit dit, |l'Alberts dans ls région irriguée se | give, MOOSE JAW — Des officiers de la ;
ignorent l'orthographe, l'usage deé let- sont engagés à planter 6,000 acres en; — — 0 D gendarmerié à cheval ont saisi de ja | Eroupe ée femmes, ayant survécu à ls
et le. premier ministre Chas-A. Dup- |tres mafuacules, la ponctuation et jus- betteraves. La province de est la morphine pour une valeur de $10.000 dernière et son second groupe. ‘ 1
aing. qu'à 4 signification des phrèses an-] La compagnie transporters une usi- : D RUE CERN RER RE) dE à NEGA sées par 507
x = glaies les plus simples. ” {ne ici de là vallée de Yakims. wasu | 1DOins taxée d Canada |Donais et Jack Arthur, Le. UE CSV Me LUI
“ + ” pa —— 2 ——— ingtonu, où les ie ” ‘ réussi, Amupdsen He "AT E Lart Ente À
La distribution des liqueurs Les archives de Sir Wilfrid! proñtable 1s Run dégravee he Québec — En féponse aux critiques} MELFORT — ILE Keows, avocat | des préparatifs pour un vol
dans la Saskatchewan Doux atires manulrtéres orme aus [dé l'opposition. le piemier miniure| de Mellort, sers le candidat conser | pôle nord. 11 partirait de Spitbergen
— : Taschereau a démontré à !la légisis- vateur aux élections fédérales pour le | le
mate « truites dans les districts irrignés du
où = fus ind des | 504 de T'Alherts. si celle ds Rù a | ture aude la province de Québer est la comté de Melfort. Il » été choisi zœ
Archives Fédérales viennent d'acqué- | réalise le succès espéré. ent
tos-
érstème de contrôle gouvernemental. | rir tous les papiers, documents et jé de paient les contribusbles canadiens par sur la tabl L
On a° 1984 an entrepôt considérable |ehives de Sir Wir: Laurier, conte De ta ma dou ce one | t8te de popeiion: SEE PE "so en
dans cette ville à cette fin. On annon- nus dans vingt-quatre caisses. t prête à entrer en opération au mois Oblles Ce Se à sen p ere ge à | fité des : 88 d
cé la nomination de John Anderson, | 1 sera intéressant de connaître dans | d'octobre. Cie :.:* 7 RM Eanch rm ie: D” bricants late:
te Yorkton, comme gérant de cet en: | quelque temps le contenu de ces ar! Raymond se trouve à 20 milles au! Manitoba ......-..,-...... …… 1524 | atoir volé Sas obtenu des profits
trepôt. chives. sid de Lethbridge. : Saskatchewan 1556 aerchis k
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Ra x Œ 2 Alberth ,..:.2..-.,.4 3. 1441) 'OTTA — L'on v
. “OTTAWA — Les anciens soldats . FORT MYERS, Floride — Thomas} ; BANKOK — Le prince Asdang. hé | Colombie-Britannique er D vga Mu rod an
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Guimont. soient préjudiciables au prodüéteur de fataire dés dirécteurs pK là “Home LA SAVOIR à mat 4 fera 5 Jon, es nôpliaux de lario st de Mew-Vork
Surintendant général: M. Yvon La-|£raïn. ls ne crojént pas que la loi
Bank”. 1 n trouvé F-BY! ‘Husséll,
directeur: coupable ‘d'avoir: participé
du dernier rapport de la: ‘banque, HT
La suspehdu 19 sentence.
Le juge TContsworth a enbüite con: | bles
damné RichardP! Gough, ul était | | adresser À oui les agents où à D | emmmmmm mer
‘vice-président de ‘là mêrne “tnétituifon, | LR rne Main Wiant } HE - P +
À doux afis dé prison dont une …—
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M JC, Thivierge. : : : dés réshltats satisfaisants. Les sta-
Inspecteur en chef: M. Charies st-
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‘Comptable ên chet” M. A. Courir.
Chef du service des relations étran-
gères: M. L-P. Saint Xmour,
Chef ‘du contentieux: M. A. Gérix.,
pas justes et on ne peut. supporter
les, occusations quoë a Poaon, sur
indéterminée. s
ERA Stewart, api Li RAA 8 Jambes. et ee: titles Hun ponte ii Cort 0 4
Lajoie, LLD. cés statistiques. 4 meignon: bas élastiques, Ceintures-sup- | ‘ | Téléphone A 468.
ge port. Bandes latvès;-mppareHé or- À ‘
Surintendant des, immeubles: M.| Le rappüït s'oppose À ce : qu'on puis-}« D = thopédiques en PB € "Chaises 7089, Ed. Great West Permanent Loan
Olivier Deguise:
-Chef de a publicité: M. Léon Lor-
Fun.
‘se solliciter les pérsonnes qui ne sont} 4 - - pour invalides: M. 4.-M. Gélinhs, or-
pas au cournt dés marchés à spéeu: - ES NES Lir AS LE: pra .86 né we
lér sur les grains. C'est souvent ne BUS 4 NN SC
dubtthitshess - menace pcür les teriniers ‘qui eñga-
é met.
! DL s“ouikLe manifeste. sénies late
‘tant les taxes sont lourdes, et une di
JT. BEAUBIEN
minution radicale s'imposerait.
_AVOCAT ET NOTAIRE
MuxsML Fôrke trouve que le manifes M. Lewis attaque ensulte l'adminis- | Surintendant du district-de Québée: | sent tout leur avoir dans cétte spé-
qu ommeETMeur EN, an, document du plus son du C.'N KR, parce qu'elle] M. Henri des Rivières. culation; laquelle Ds grande ‘ce, Ed. a Er Ce mes
“haut intérêt. Le chef de l'opposition nemplole pas de cuitivateurs pour Surintendant du dintrict . Noïd-| expérience. he TE Aider
à des munitions dans son sac, et 11. eu: éinbranéhener
‘distribué À tous, auù manufacturier, l'Ouest. ri mom te faire leu
WHi'Hbroand, à l'axriédlieur, personne! sy jjeu d'employer des étrañgers.
da Ë fl termine en demandant dé nom-
pren de mal ésipodtéothétute 12 2 se ent tant de férmiers
Ouest (siège AEdmonton): M, Alex. |... Le rappori principal ne se prononce
Lefort: : pas sur la. question du. transport. des
Surinténdant du district Centro-kgrains,. mais - le commissaire JG.
‘Ouest (siège à. Winnipeg) : dur JE, Scott, de-Québer, dans un appendice,
l'Arpin. Ù fait rémarquér la difficulté de trouver
re | | des” marchés en payant les taux de’
Les Mennonités tent transport actuellement : en vigueur.
{
mille pour rhuma- 7 Argent à Wine réanti pres 4
tisme, lumbago, en-
‘torses, : névral
‘maux de: dents pr
lle tête, morsures |}
d'insectes, <ontu- ft"
sions, engelures,
toux, rhüma, érarm-"
Calises,. ciboires, oëc.,
D on argent et en. *
à or plaqué :
Prix donnés. sur demian:
de por repolissage et
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BERNIER, Noël,et |
FRIPF ‘CAL
. *kfésx! Le déveioppement des marchés | 4, Commentant_le fait que les deux tièrs
éctioi, et tañt de Cinadienÿ Sid “noire: # ptet Avocäts: Testameñits et Süccéssions !
110 mn 2 get résleradt pas di tout ln ques-| r4ncAfs qui aspirent à févenir. # "des. terres. du. blé canadien passënt par lés ports reed TU Matt Municipalité, Nota F7
: : tion de 1æ ee Lemgi de M, Evans ii REA 2 américains et que le Cañada verse an arr \ l'avoir de la: j Pratique - générale du-drait | =
H@uent; en partioul : we Saskatoon =? K-A Williams, nueliement. ! une somme de 15 millions | | pre port e la main!
- 4e Altique. de air John Macdonald née); M Evans, député de. Saskatoon, se 3 de 401, ED. SOMERSET . Vi
Winnipég, sd GT PE 2 po eu aux chehins de, fer, et, aux navires
.| américains locaux, a bn qu'un. ac- américains, A Va auggène que, 163
cord tivait êté” signé ‘par les chefs de| chemins de, der nadiens,. pendant les
la viéille colonie mennonite du district | dix PrEPnaiqne ‘années, se spécialisent
‘de Hague, en vue de la vénte aux ca |, PR CS RE
pitalistes de’ Chicago de 40,000 acres à érdord CR
dé 'leûrs terrèb; avec bestiaux et ma: Nr . st cu : r may YUL0*
tériel, ‘Un certain nombre de ces Men- * m5 FRE A 5 es bus. ace Mr «or D CWihatpee,
ERA # x TE A fs Symphonie Q por npiennerment
nonîtes dù distriet de Hague sont déjà ; L. , Sein Symphonie de Détroit
‘M6, PMMEU ML PANIER MEL A 5167
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| teilte chez, votre |}
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Téléphone : A1585
201205 ED. SOMERSET : WINNIPE@
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HENRI LACERTE
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NP dostrique à. DO Marne, ME inr de où qui fé: pre-
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viMlsn'existe aucune raison pour empé- |:
1-1cheË les mariufécturiers d'accepter là
mræumpétition sur les marchés étrangers.
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EN s tout derniärement les. a fort surpris, | Partis pour le Mexique, mais il en
résrisiage actions et Kow né devrait pas Cetis : déclaration: dongere: du: ‘cosèr 172318 encore un nombre considérable { ” or ce
rene andive-a5 rt accent À protectionnistes, mais désappointe quisattengent la vente de leurs terres. ” ASSURANCE SUR LA VIE . sd pass
RARONDRS. Environ 80,000 acres dans le district PAL E flce Standard Trust, 348, rue Main
/ les prairies, g .
Mois) s41mmigration:-cetenisation——} |; di Se Fiest-dhcore ei Bibesselon de 16 dolo. Ptus bo ere de Lt 04 Lei» Ad pi aux assürés où Cu | Muse prenons F Téléphone A 7647
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coup de veuves Mat d'orphelfns qui leu# en gardent une infiñle recon-
Lnaissance.
Es | CT MERE ETIN de vieillards dans le mandé entibr qu? vivent en
parfaite indépendance, une vie né
” reuse et tranquille, frâce aux assu” {
“ le débat a été repris. le lendemain, Lrañces sur-ln Vie qu'ils-ont mA lorsqu'ils étaient jeunes. 54%, rue À ee me ponts D — r ithapagel
++ diseussions nationales. Nous devons sans énthousiasme, pour henucoup d'hommes d'affäire et,d'industricls qui leur doivent hu, vi
t
le ad parce qu'ils Unt trouvé dans leurs polices d'assurance, à (es Maaufncturier de Done ne fonérai- | .Succürsale à St-Jean-Basties, Man.
heures critiques, des ressources indispenpabies He He CROUVAIENE pus
ailleurs,
An /tégier définitivement”, dit-il, La! méme résultat lundi,
population. des prairies! est ’prête, à |
utir au ==
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res, travaux fie elimetièré, icttrage
se pius perd chofx dans RLLe ) jan‘ cts or 2
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: x £, R R LP2 sur 1x vie ent une hecestiré pour 1e père ] Tamillé qui à LA
DL IUE-NPIRre inatios à: CMae e74 Que - ‘ABD-SENAT doit 1 pdt de coeur poutr1te, Das expoer ma lemme et #e# enfants, Ph PL png RON i LOUIS, BETOURNAY
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+ DRE Feu nateur C:-W. Robinsôm, récemment carre est'indispensable pour uné mêre dont la. disparition on dehors 1 AVOCAR Lu NOTAIRE
| FOIS 4t tècmine en souhäitänt que 1 nommé à in Cheinbre: Hs1tS pour rè- des dépenses qu'elle entraine, laisse au père la très lousde charge d'éte- De bons verrés dénnent une bonne vie 60%, Edifice Great West FP:rmanem
! *: ‘s'ttaquè enfin aux réformes du Sénat that: 1 Nadia -| de revenu In famille en retirerait-elle? ; 356; RUE MAIN: :
A : F on et! bille. est nécessaire au’ jeune hormme, 4 là jeune fille qui doivent KELLER # STALL an
étqne notre pays s'engage sur la. vole par le: sériateur Jules Tessier. protiter de leur jei unesse' pour. économiser. un argent quo d'autres jet- tométristes & Opticiens —— aa -—Résigencet--N2440
|. qui de de : nos té Sr -L AGE - tent ai ventpet dont ils auront taht, besoin plus tard. Re ee de Ÿ :
TM gps anéru premilér [3 aré que lek provin- ; Ron + est idisgensable au fermier. comme she von cs prefosisanoll CHA Mubrave à Portage
+ mes aurajen r n médecin où ut n#00n ent à \
J M. 3:87 rt te oo ® “ OS ON suite ete Qu'en réslera-t-il dprès leur mort? Quelle source re À sa sh innipe ph RS Fhsonce ed Fes
sons de se dre ai les ports du: lit- de revenu l#. famille en retirera-t-ile 7 "re ni: odérenRs te voyage
“Lhdéputé travaillste: de Winnipeg: | toral: de: l'est: receväient plus de tra: | 1 L'homme d'affaire peut avoir entre les uaine une magnifique entre que vour Vous nt Acheter ii
rône * prise, Qui Îlh dirigera quan ne sera plus } billets pour faire venir vos
PR OLLTONES que le nent fic: En secondant l'adoption de l'a- Le fermier Vit sur sn terre et il élève an famiilh, niale-it doit tra- amis d'Europe. sy 2
ne contient rien de k et que la | dresse, le sénateur Tessier a dit que vailier avec tout son courage. Qui væ fuire le travall après mu mort? DENTISTE
plupart des paragraphes des trom- | je surbles de dotse blian commercial! em à de famille ira-t-elle À la éhiarrue eu lxissant les enfants à la 194%, ave. D qe om ge Jaiut-Bonuifnce M.E, SA BOURIN
pe-l'oeil h conseille au gouv ent preuv. rospé "à C'est tous, quelque soit la situation que nons oceuplons, un Heures de bureau: 9 h, 4m. À 5 h. p, Agent de ochauxe. Envois d'argent dans
° de reviser immédiatement |" de Borges sa 7 ve nl auvoir de ÉOnScie Se, et ün devoir d'autant plus “re le à rempiir que r hedlee pre le mardt. dog "°°" mitiel" de rares Assurances.
croit que: la ‘politique préconisée dans les primes que nous versons demeurent pour une bonne nârtie & notre at VoARUet salé
pnEne britannique du Nord; de fe-|je discours du. trône est dé nature à ’ disposition en cas de besoin, et nous reviennent en cas de survie, « de dnol-4ù ln-HDES ESS ve ct Sie honttnee, Mas
con à éviter des situations comme la EN + RAR ; Qu'on né dise pas: “Jé ne suis pas chpable”" L'est une excuse qui | és Eire? “125
aider beaucoup à nôs ports nationaux! è n'en est pas une. Un est. toujours cape e quand on le veut bien et nn
::Aéoision du Consell privé. contre lalet particulièrement à celui de Québec. 'iorsqu'on comprend parfaitement toute l'importance de la ch J
t possi ” é F Mai = s dans l—na Sauvegarde, et n'allez pas porter votre ARJ
+. loi Lemieux. Il est ble que d’au- Le sénateur Robertson croit que no- argent à den vempegnion amérieuines au! ne vos donnent pas de meil- DR JARJOUR J. O. BRU!
.xfres: de nos. lois soient inconstitution- | tre commerce est loin d’étre prospère, leures conditions que les autres et appauvrissent le pays en soutirant E
" * ! ses capitaux. Gradué avec distinction à Mont
velles et il faut. que lé ppuple caha- Let il est d'avis que le Hbre-échange n'a réal En digg 2 in ve rer dl \ MONUMENT FUNERAIRES
sache où il'en est. pas produit les fruits désirés, siens fentistes de la provinée de Quebec! / MARBRE GRANIT
a Wondwwori ent d'avii que ates | Nos roveuus ont été réduits de 148: LA ‘SAUVEGARDE 702, Ed. Great West. Permanent*Lobn eTc.
» : | ‘ténquiers prédisent la prospèrité, nous | 000,000 et notre ‘population a diminué |
Bureau ie de Montréal
Vingtdeux ane d'existence
RAYMOND DENIS, gérant pour l'Ouest Canadien
| : VONDA, SASK.
A.-L. MONNIN, agent spécial pour le Manitoba, Victory Bldg., Winnipeg
eee
P.-J. GALLAGHER
._C:E. KENNEDY
! … Deritistes
TE: À 2688
11205, édifice Avenue Block, aye. Portage
Où parle français
346 Avenue Taché Saint Boniface
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Téléphone. N 1771
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885 et 291 RUE,DUBUG, S-BONIFACE
CT |
ru Ra _ un | sense Otagns cum "À 29 Wii BARKER
de: 37,000,
L'agriculture souffre
Le sénateur Dandurand, leader du
Charbon Kiee Hill Valley
Demi-frère de l'anthracite Î
Knee Hi! “Lump”—Par tonne #12.50 D}
rales l'attention susceptible de les fai
“ON DEMANDÉ DES AGENTS
re renaître à la prospérité. Il dit '
25 soux de moins Dar tonne par
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(Visa-vis l'hopital)
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} : 25 ans d'expéribnce
port et le coût de la production, nous
2 CA
CP,
ee ©.
Pa
jamais Pris M paie de 3 arrber!
LE “BORDER CITIES STAR”.
Le Border Cities Star, de Windser, a publié: à
e de Bonñe Entente, |
plaie ct déclare que le RS
loul ‘au moins emende façon à le rendre re y
le justice-ordinaire et d'une sage AP-
ôn'dé cé qui convient. H ést évident que le règiement
XVH importe peu ou point aux Ontariens de langue anglaise.
Alors, quelle raison quelconque peut-il bien y avoir de main-
tenir cétte cause de friction ét de mécontentement?
* Ce n'est pas la première fois que le Border Cities Star
mânifeste ca nt sa sympathie à l'égard des Canadiens
français. Son priétaire, M. W.-F, Herman, ne fut Sr ha
pas toujours notre wmi. 1} n'y a pas de longues années, l'u
dé ses journaux_se signa!a d
— Te français el les écoles séparées dans la Saskatchewan. M.
Hérman possédait alors le Post de"Régina et le Star de Saska-
toôñ, deux quotidiens importants passés depuis en d'autres
mains. On se rapelle que la lutte scolaire fut particulièrement
vive, dans la province voisine, de 1916 à 1919 Du cêté de
nos adversaires, elle était dirigée avec un acharnement hai-
neux par le Slar,.dans leqiel les loges orangistes trouvèrent un
porfe-parole dévoué et influent. Le zèle du confrère pour la |serait
- causé de l'English only était tel qu’ un jour il poussa l’andace
Jura prèconiser ia suppression du Patriote de l'Ouest! 4 pe
toût à fait ’ses SE © contre les a et les Canadiens
français. Nous éûmes méme l'agréable surprise de consiater |
un jour que notre-grand ennemi 1€ Sfar nous devenait syimpa-
ihique. 11 & continué dans cette voie et tout récemment il van-
tait le système scolaire de la province de Québec, qu'il placait
au-dessus de tous les autres.
De tout ceci il se dégage une petite leçon à l'usage des scep-
AI
“
Ta
pour le
qu'ils sûnt faci-
.EtatsUnis. Con-|in
anadiens français | is
Sr à pren-
: RSR à face. Le
c'est bon signe. Maïs où est la
cause du mal. mal déploré?" AFexé-
cutif des.chemins de for? On
serait porté à le croire; cepen-
iMti
FAR trot nd mn dé vif
se races mé, com
CAL D dpoi|*e
while from ever
Qurhoe. unatiimous applause
n to the behäviour of the
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» | de son église, A1 apporte le même goût | le nombre s des. d
artistique à planter des arbres autour Ca dép ris: da fe
de l'église Po Ag Me tea ans reonnds de don «
? Theré|:
nes
dant le mal n'est pas là tout éducati
entier.
mins de fer de
lons de Québec as
accordés aux ra
es Etats-Unis? Certains
hommes publics de Québec.
Donc, pour autant, le remède
ieunes cils onu de à
posons c ie de la
difficulté réglée; il resterait|®
même vrai que-la som-
me requise pour lace-
ment des Fils pre
ce sont
ses qui sont; la plupart =
: er d'ail-
leurs n'irait-elle pas -à réduire
à un minimum abordable le
prix de passage de l'Est à
l'Ouest du Canada?
M. Olivar Asselin:
aitir: Pat-
tention du Département de Fre
tiques et des pessimistes. L'exemple de M. Herman et du far l'intérieur sur ce point. Les loc-
de” Saskäloon ‘nous autorise à ne jamais désespérer de voir | teurs de Ja Rente qui fréquen-
venir à nous même les hommes et les journaux qui nous sont tent dans les cercles de la finan-
. 1era aussi +
La représentation dés Æomanesques, que doit nous donner
le cervle dramatique L'Aiglon au théâtre Dominion, le 23
février, s'’anñonce comme une brillanté manifestation d'art
pe à 4 Parvcille aubaine n’est pas d'occurrence fréquente à
innipeg et nous nous faisons un plaisir de la signaler d'une
tr toute spéciale.
Sir James Aikins, lieutenant-gouverneur de la province, a
bien voulu accepter le patronage de cetté soirée et il ÿ pronon-
cera unt allocution. Le professeur W.-F. Osborne, dont tout
te mondè connait la sympathie pour la cause du français. par-
naturellement dans cette langue.
C’est lu première fois, croyons-nous, que sera jouée dans
l'Ouest une oeuvre php À de cette valeur. u faut louer san>
Edmond R
le théâtre français contémporain pour qu'il soit à :
d'établir ses mérites et de carac tériser sa maniere.
juimals en l'occasion de les voir à la stêne. An À et!
ce peuvent ici donner un joli
a >< Pre main. + ou
tique d’én ation du
Département de Fintérieur a
que . la
était ça æ
lui a préféré celle de J'Europc
centrale et des grands centres
industriels de. l'Angleterre.
Nous récoltons et nous récalie-
re encore longtemps, nous le
raignons, les fruits de socia-
he ét de communisme que
comportait pareille polihiqu
d'é ation. .
Il n'est jamais trop tard pour
reconnaître une erreur et s'ef-
forcer de la réparer... Nous
croyons qu'on ferait mieux de
æorder au Canada
teutrils bien de ne pas miauquer, La, représentation des Roma- |.
f Cette comédie n'est sans doute pas la -plus célèbre
; mais, outre qu'elle est à peu près la seule abor-|.
dable pour: une troupe d'umstcurs, lle renferme. iouies de [au
be subject lo
< {and direction ef the. C hief In-,
Da
ping. Lo. ils : averwhelming
major the Roman.Catholic
anadian popula-
tion of Q e would have been
quite at ease to pass a school
lat such-as the followi On
tario Reg 17, sect, 3.
the language of inst
rication: but sucit nse
ea | shall pr be continued beyond
Vars
“9; Such instruction in Eng-
tish may be taken only by such
me À whose parents 'direël |
ey shall do so and may
… given in the Englésh ‘lan-
Tag __Such'insiruction in Eng-
dish shall not'interfere with.the
adequacy of the instruction in
rench;-and the provision for
sach instruction in English in
the time-Lable of. the: school}.
provision for such
instruction in English in. the
time{able of the Foy +2 shalt,
t a
speelor.”. :
“A feeling natueal-1o ‘all. chi-
vairous nalians go. us.
from lakiag sue slep and
warnedus that il would,be al-
} saxonne nes age. de - a MT au
‘| des, arbres : “autour de leurs maisons.
Pans quelques -années., Gravyel | Pa
“| peut devenir l'üne.des -vil- d'uge .rés
les du ‘sud de. nager died ù
2 se plaira à ge re "C'est &
Le ;e
moiete-te Disssus à ? 3
cpe- à] Londres bu voyage d'études gr nd
un danger, parce que nous tra-
vüillions à nôyer (!) les autres râces
en élevant trop vite des. pue Lan
ns français. “à
_Ce-boDr-Hesdiem:-de Gloncputer:
ail" voulu jouer R rôle du Capital du
Capitôle et sauver (?) la race anglo-
faites pour Gros ua fav. mé
sais, 19e ne Ganada, k
éTons # Jet: ‘add un 1
are mais aninn, 4n1dUigOnLS ‘66 trurt, et
désireux de ne-mebtre à ln tâghe: «1 succés final
«#4 Ge que. nous devons
| lun dans M detre de lévoaue de Glow. 1
d'inseris avec:plaisir da: v ! 1
réponse de. Sin Arthur Currie, de l'Uni. |
versité McGill, à,eg-broyeur de noir,
À .ce semenr: de, panique: : je
“J'ai, .avec surprise et. non, cons
Farticie paru dans la pie-
reval| ie
imière @hge dela ‘Gazeite”! do 2e ma-
tin, 81: r-1926),-intitul(es. Les
Cauadiéns, (rançais menacent les An-
£&lais”, résumé d'une lettre de l'évôque
lu question avee soin. Êle me parait,
Au sontraire, avoir prêté trop d'alten-
tion à des. AR mesquins et-peu ré-
paudes.
together alien ta justice, 401
pe mg to
_The { Council Public
| Education is council of
ie
sfsie à
là faute n'en sera certainement î
à ce on auront dit qu iauront |
ct 9 à, TARNATES MEANS:
nn pet vp P Vat
SITENT ei :
? ais k ge
\: iles dés proverbes où dictons
A (Selaitt ré
: Nous rocevrohs les rép
AVIS IMPORTANT — N
se
#
ô : Müre! aux jours qui passent le bien qui he passe pas-—H, Bordes
;
“
.
X. Cette déf
populaires que vous connaissez dans les-
serent publiées dans le numéro du
dans notre numéro du°11 février.
++ Nous supprimons le coupon qui devait accom.
mails que les concurrents n'oublient pas de
adresséés comme suit:
_ Solutions des problèmes de la Série
° 33--DE QUI-SONT LES PHRASES SUIVANTES:
Hu Le coeur à ses raisons que la raison ne connaît pas.—Pascal.
ar NNivre, c'est aimer toujours, jusqu'à la fin! jusqu'au sacrif
mises à la poste jusqu'à la date du
les solutions de la Série No
Les Jeux de la “Liberté”,
, 519, avenue McDermot,'
Winnipeg, Man.
No9
x 31-—DEVINETTE retiré
ri DE tretat — être (eféature) — TAT
#11! Abbé — bb . (bébé) — AE
Gros — £g (geai) -— _ROS
F, AEROSTA
32-MOTS CARRES SYLLABIQUES
vi GRE N A DE
D". NA V-I GUER
ve M DR CURR. PL R
Mme 0
ice: c'est pren-
Pet
L'inditrérentisme patriotique, ou l’anénile du sens national, est un mal
‘à battre,
O8 le réconnaït au désintéressement envers les choses de
Lhotre nationalité, le manque d'esprit et de fierté de race.—Antonio Perrault.
LA
S VILLAGES DI
PUBERCULEUX
‘La tuberculose est le type des ma-
Fadies sociales, c'est-à-dire des mala-
À dies dont le développement est lié aux
fconditions mêmes de la vie sociale,
jet qui tendent à envahir; pour cette
fraison, l'ensemble de la collectivité
! sociale.”
À 6 Rue 55 fin DRE ef
nition, due au professeur
s ; M. Robert Wolfsohn l'a
* tisè-en tête de la thèse qu'il vient de
#houtenir: pour le doctorat devant la
? Faquité de Médecine de Paris, et à
laquelle il a donné pour Litre: “Les
t villages de tubercüieux en Angleterre.”
!: M: Robert Wolfsohn pose ce-princi-
“pe: “Tant qu'un traitement spécitique
Lu'aura pas été trouvé pour la combät-
dre, le traitement de la tuberculose
4 a le type du tfaitement sûcial
D per VAL N'y at-il donc, à l'heu-
ïre actuelle; aucun moyen de-lutte-con-
are là tuberculose? Si, il y a le dis-
Mpensaire, i! y a surtout lé sanatorium,
mais “le problème médical n'est pas
æntièrement, résoju par le sanatorium,
uisqu'ên le quittant le malade ne
t être considéré comme guéri. Sor-
id sanatorium, le tuberculeux à be-
de travailler pour gagner sa vie.
capable d'uné certaine acti-
té, il se jette à corps perdu dans la
économique et devient dangereux
pour les autres.” : II le sait êt ce n'est
j là ce qui peut lui rendre l'espoir
Net 18 Courage, ni consolider yn état
file santé que le sanatorium avait amé-
frdvisotrement. “Les principes
traitément sanatorial sont bons,
3 la méthode Suivant jaquelle on
applique qui est en défaut: cette
e; pour porter ses frults, doit
r compte, à côté du but médical à
re, des buts moral et social"
prolésseur Léoh Bernärd l'a, dit:
Notre conception actuelle du traite-
t populaire est une erreur” On
envisage la question que sous ce
objectif: le tuberculeux la collec-
wité ne fait rien ‘ou presque rien
se protéger contre le tuberculeux
pour'protéger la famille de ce ma-
à:
\: »
aihien, jes phtisioiogues de tous
y# ont été conduits à cherchèr
modifications ‘pratiques 1] est
d'apporter à là lutte antitu-
{A rembourser l'argent si vous n'êtes
ques sont rendus tels qu'ils’ convien-
nent À l'état anormal physique et men-
tal de ces villages, la colonie de Pap-
worth — à douze milles de Cambridge
— fondée en 1915,_grâce à la généro-
sité de sir Ernest Cassel, par le doc-
Varrier-Jones._ ARE
La colonié de Papworth se compose
de deux parties absolument distinctes:
l'hôpital et Ja colonie proprement dite.
L'hôpital réalise la cure sanatorialc
habituelle et offre aux malades la pos-
sibilité de recevoir immédiatement les
soins nécessaires à la moindre alerte.
Le tüberculeux sait qu'on s'occupe de
lui “non par charfté', mais parce que
la société a reconnu que, par suite de
circonstances malheureuses et nor par
sa propre faute; “il a dû s'arrêter sur
la route que d'autres continueñt à par-
courir”.
Au bout d'un temps plus ou’ moins
long, le malade est admis à travailler.
Le docteur Varrier-Jones affirme, en
effet, qu'‘‘un travail de quelques heÿ-
res, gradué suivant les forces ‘du ma-
lade, est un remède d'or dans le trai-
tement de la tuberculose”. Les tra-
vaux ruraux ne conviennent qu'à un
nombre très restreint de malades. Par
contre, une foute d'industries qui peu-
vent être pratiquées dans des ateliers
spéciaux, bien aérés, ne sont nulle-
ment incompatibles avec l'état physi-
que du tuberculeux, A Papworth, il
y a des ateliers dé charpentiers, de
menuisiers, d'ébénistes, de tapissiers,
de tailleurs, de fabricants êt de répa-
Soyez prudent après la
grippe, les rhumes
et l'influenza
Si vous vous sentez nerveux et affaibli
vous devriez faire attention
Il existe un nouveäu remède qui 4
fait des merveilles dans des cas sem-
blables. St votre docteur ne vous l'a
bas déjà prescrit allez chez votre phar
muclén et achgtezs-en une bouteille Ce
remède s'appélle Nuga-Tone. Prenet-
en pendant quelques jours et vous se-
rez plus qu'étonné de lé rapidité avéc
laquelle vous commencerez à redev-
nir en bonne santé et vigoureux. Nos
lecteurs ne devraient pas hésiter à
essayer celte merveilleuse médecine,
Nuga-Tone, car ils la trouveront agréa-
ble à prendre. Elle fortifie les nerfs,
le sang et le corps en peu de temps.
Nuga-Tone procure un sommeil récon-
fortant et vous donne de l'appétit. 1!
stimule le foie ét règle les fonctions
de l'estomac et des intestins. Les fa-
bricants du Nuga-Tone ont tant de
confiance en Nuga-Tone qu'ils obligent
tous les pharmaciens à le garantir et
Pas satisfait.
paquet.
Voir la garantie sur le
Il est recommandé, garanti
|
:Æn 1924, # y eut 2.716 par
4
L
occupa : : _.
Leu du 25 mars au $ avril, s0% camp de art ghret
Le, 2° : souve-
nn con ge pét Lage cmt tout 46 téisent ne détiont.i
vernement,
rés” ou ‘“guéris”,
| ECHK
__{employé des pistolets.
cé nus l'armée française 110,000 ré-
formes pour tuberculose pülmonaire,
Sur ces 110,009 - tubercuüleux, 15,000
soit morts, 2f,060 présentent des lé-
sions en activité, 70,000 sont “améllo-
Ces malades sont
est insuffisant pour vivre. Leur pen
sion, s’ajoutant à leur salaire dans.une
institution du genre de Papworth, leur
permettrait de le faire.’ Ainsi, pour
réaliser ce système en France, il est
inutile d’äâttendre que l'Etat ait la vo-
lonté ou la possibilité de s'intéresser
au sort des tuber=uleux. Une réali-
sation immédiate s'impose. ‘Et le vil-
lage de tuberculeut remplacera “le sa-
natorium populaire” ou, plus exacte-
ment, le complétera, et fera enfin de
lui “un organisme vraiment utile”
LL ‘, Julés LAURENT,
«ir :2
Sanglänte bagarré entre ca-
tholiques et communistes
à Marseille
Marseille — Deux personnes ont été
tuéos'et deux cehts blessées au cours
d'une tentative des communistes: pour
empêcher une réunion de catholiques
que présidait le géuéral de Castelnau.
Certains des manifestants ont même
EAP
Vingt-cinq personnes ont été arré-
tées. Le maire a pris des précautions
spéciales pour éviter de--semblables
manifestations à l'avenir et il a défen-
du toute réunion publique pour une
période indéfinie, Les catholiques pré
tendent que la policé n'a pas su les
protéger comme elle auraît dû le faire.
Re 2 ee
. Le doyen du ‘barreau de
Paris est décédé
Prague — Edgar Derñande, doyen
du barreau de Parig, est mort à l'âge
de 84 ans. 11 fut avocat du prince
Bonaparte durant son procès pour
avoir fait feu sur 16 journaliste Victor
Noir, en 1870, et prit part à la fameuse
affaire Dreyfus de 1894 à 1899.
Dh D— —
M. de Monzie est parti
pour Rome
ji Paris — Le sénateur de Monzie /est
parti pour Ronie sous prétexte d'affai-
res privées, mais on crôit 'it sera
reçu par Sa Sainteté pour difluter la
situation qui résulte de la suppression
de l'ambassade française aù. Vatican
et’pour trouver un compromis qui soit
acceptable pour le Saint-Siège et pour
le gouvernement Herriot. M. de Mon-
xie est un partisan du gouvernement
actuel. Il a beaucoup participé à la
reprise des relations officielles avec
le gouvernemont soviétique. 11 est
fortement opposé à la suppression de
l'ambassade au Vatican.
Re D ——
Berthelot reprendra son
titre d’ambassadeur
Paris — Philippe Berthelot, ancien
secrétaire général du ministère des
affaires étrangères, sera réinstallé Qu
rang d'ambassadeur. Il avait 6té sus-
pendu pour 10 ans en 1922 par un c<o-
mité disciplinaire à la suite de la
faillite de la Banque de Chine, 1H
était accusé d'avoir envoyé des mes-
sages, pendant la crise, qui auraient
eugagé la résponsabilité de la Fran
dns une aïaire privée.
La réinstaHation serait faite d'après
le récent bill d'amnistie, En atten-
dant-d'être nommë!à une ambassade
à l'étranger, {l serait conseiller de M. &
Herriot sur les questions de politique
et vendu par tous les pliarmaciens. ; étrangère.
à 1919, dit M. Woïlfsohn, on a pronon-
Paris — Le duc de Nemours, le plus
jeune frère de Louis-Philippe d'Or.
léans, s'embarquéera en avril pour vi-
siter Lord et Lady Rodney, qui ont
#n-ranch à Fort Saskatchewan, Alber-
ta. On dit'que le duc espère pouvoir
acheter un-ranoh -près de celui du
Prince de Galles, dans l'Alberta.
français à
Les journaux
‘quatre
Varie -— Les quotidiens de Paris’ ot
du réste de la France qui se vendaient | France
jusqu'ici 15 centimes le numéro, ont
porté, d'un commun éccord leur prix
à 20 centimes l'exemplaire, .à dater
du 1er février: et ;
Poür les mutilés
Paris — On. s'est ingénié à faire
oublier;aux victimes de ia guerre leur
disgrâce, ; : 8 G
: «Pour ceux qüi sont privés d’un bras,
on 2 fabriqué des briqgéets si bien éta-
blis que l'on peut allumer sa cigarette
d'une seule main...
Pour jouer aux cartes, dans certains
cafés, on apporte aux clients qui n’ont
qu'un bras des petits appareils de bois
si habilement construits que l'on peut
d'une seule main tenir son jeu, en
distraire la carte que l'on lance. —
Pour ramasser son géin, une main
A toujours suffi.
——— Dh —
La plus nombreuse famille
de France
Remiremont — M. Camille Laperte,
cultivateur à Bussang (Vosges), père
de onte enfants, travaillant tous à la |
terre, bénéficiaire d'un prix de vingt
mille francs, ayant écrit à M. Méline
pour le remercier des démarches que
le sénateur des Vosges avait faites en
sa fäveur, a reçu de l'ancien président | *
du Conseil une lettre dont il est à bon
droit très fier. M. Méline dit ressen
tir un vif sentifnent d'orgueil à l'idée
de voir une. famille de l'arrondisse-
; ment de Remiremont mériter, une fois
de plus, d'être citée comme exemple
par ceux qui cherchent à encourager
la repopulation. à à
Rappelons que la famille Amet, dont
tous les membres sont cultivateurs à
Cornimont (Vosges), qui compte vingt-
trois enfants, est la plus nombreuse
famille de France, ce qui a valu la
croix de la Légion d'honneur à Mme
Amet. ;
RE
La foire de Bruxelles
Bruxelles —- La foire commercigle
officielle de Bruxelles s'affirme, de plus
en ‘plus, comme un évéñement inter-
Dationa] d'une importance considérable
et d'un intérêt unique pour les com-
merçants étrangers, tant importateurs
qu'exportateurs. :
Les soins minutieux apportés-à son
organisation par un comité d'élite, dé-
sireux d'imprimer à cette exposition
un caractère à la fois: pratique et
agréable, non moins que la situation
centrale de Bruxelles présentant un
accès facile à tous ceux qui viencent
ren Europe, expliquent l'attrait croissant
dont les cinq foires qui se sont tenues
LL
Tobs ne
NCOUrez au-
vous
LEMA =:
hs
li
Paris — Les négociations entre la
et l'Allemagne pour la conclu-
D:
visiter en même temps
artistiques de Rome.
Du Canada,
ASE T LE rs À
mme ont de ee nome à dm su
RE AR NP E PARDON LA IG 47%
È ti. e + gp" : % CP
ah ent ange ame he cn me de mn meme.
ww /
22
* à,
se péter que dans noîte ville ik y & ‘
error nr
quañd un peu de secours redonnerait là santé
à celte petite, änémiée par l'insuffisance de ta”
nourrilure.
Les misères dn pauvre, eice que nous les,
connaissons? ; Les riches. les soupçonuent-ils FA
es LA f - [méme? Nos sommes loùs ün peitéomme cette
Tu'm’as aimée trés vite.
Mn re i, n'est-ce pas?
nr
Ta nr mue fa promis de
m'’abandonner ae Ë ta jeunes-
se. Je l'abandonne le: clin de
mes + s
ayant visité une communauté religieuse pauvre
fut pris de. com et elle résolut d'envoyer”
a NS foréé et uñe gra
Tu es commeune petite soeur
jumelle que j'aurais eue et avec
qui je recommencérais la vie:
Ta-bas, dû. temps d'Ulippc,
d'Auguste, de Charles, de Ro-
bert, de Rose, de Rosd, de Ro-
— &naive, me répondit |: attendre pour envoyer, du bots”.
4 Seat: a toujours été ;
fort en il continuera:
sura des prix et des couron-
nés toute sa vie. Je ne Penvie
t. Il aura de mesquines :
et se fraye un chemin entre les
cimes, tout s'ouvre et revit. Les
maitres trones s’élancent en fu-
j è è nt
ce d” mage ah dr -|sinc,-de Rosalie,-de ‘Parfait et |sées vers ce vert jaunâtre dont
inais if n'aura l'argent. -|dé- ma or Rosalinde, se le vent humide tes a peints. Les Len abords du du mariage
gent;;comprends-tu, mère dun chantait si bien dans les alées | arbustes alentour dressentleur| k. se ; 48
autre temps? L'argent! C'est- Eng : Ifront décidé et les pousses nais-' Ma-thère Rôse, bts À
à-diré T. Moi, j'aurai l’ar-| . Viens que je te présente à $antes rougissent tout à coup.. | Tu touches à ln - instaine}.… j'ose | ZT
gent efc’est moi qu le protége- eux. Ils vont te prendre par la|' Ne nous pressons pas-dé ju- |à peine y pénser, fsnt-cela me Lagrà
Fai ri jour, ton François! riad et l'emmence à la balan- ger les gens sur leur faculté | lime semble.que, <'est la pemaine ddf:
“vrai que je fusse d’un | £0 té. portais-à d'église 6t
£ rire | niôre que. je
“Na slloos vive, Mine: mous : EAN ap " 2 sas a, turdevenais ma filleule. ‘ Et: voifà.
ne: ai rs eu pour l'argent | a ons vivre! : dans un seul coin de bois, qu 51 | dé vingt. ans! ue. à #
le venable, un res-|.. Qu'est-ce. done. que. j'ai, à: ‘Done, après avoir ;-rétléehi, co
fleurir !
L'hiver: n'a pas encage fui}suité, tu, ‘penses #éais-tu, à t'établin,
a |ue, toutes ensemble, ra anèe L'affaire mérite éñ éflet réflexion
mones sylvies étalent daps les | # Solicites-nes conseils.
forêts leür blanc tapis lé, le
Hong des sentiers, d'un Feston
de violettes.
raconter ma vieille hi
Il n'y a pas d'histoire. ir
plus de grand'mère, ft:
petite fille: qui éntre : , le
monde, qi
re monde l'attend et fui sou-
ri
Cornme la vie sefa bellé, Ali-
ne, ma toute petite ! *
Je voudrais bién voir qü'on
te fasse dà chagrin! N’écoute
point les discuses dé mauvaise
qui ne vx pas jusqu'à la
tion. J'aime l'argent sur-
nd ec à le: donne. Il me
gägne une vertu
velés én passant de ma
in dans celle du pauvre.
Mais je-ne vois pas quelles joies
mé révélerait une grosse fortu-
né Je pourrais faire plus de
bièn? Sans doute. Qui sait ce-
pendant si je le ferais en pro-
pottion de mes revenus, si. toûi
,. cet or n’empiéterait pas sur cet-
___te-abnégation,-queé jaime à pra
tiquer, sur mon penchant vers
une certaine aüstérité? N'est-
ce pas une calamilé qu'une trop
grosse forlune? Esi-ce qu'on
Kat vraiment. la gouverner?
est-ce pas elle au contraire,
qui dirige nos gestes, nos opi-
nions, nos jugements ct jusqu'a
, notré humeur ienne? Je
refsercie Dieu dé m'avoir épar-
grié la charge rmeise de
la; richesse,
ean et Cécile.
“Demandér. conseil, disait mon vieux
curé, ne coûté: pas éher'À li jeurie filé;
; Puis c’est le tour du tanfboi vit ellé y trouve ni Arisnus PES
qui, au premier soleil, hothe ra conseils, s'ils tendènt à -bridér. 1e
tête de plaisir. Le charme _et | coeur, dime, c'est-rare, sf ét ‘existe:
le coudrier, laissent noncha:|HSin!-pas”flatteur; mon curé!
Jlamment pendre leurs chaïons| Amon âge,"alors"que les fusions
avéntpre. Tève vérs le ciél les d'or et d'argent. Le c tonibént et qu'une voit cläir dâhs
“qui-sont de sa couleur. sauvage, au tronc lisse et som- jeu du msride, je suis.de l'avis de môà
Marche, fours, saute, rebon- bre, se couronne d’un. grand|turé: et »i je consens à faire une ex
dist {voile blanc. L’acacia réserve à |Ception, c'est pour toi, ms filleule.
Comme tu robots bien! “{juin le chaud parfum de ses | AHe tort? Je'crains bien d'être aveu-
Tu es ra fille, mon trésor, ma | lourdes rappes, tandis que le |é1ée par l'amout.…
joie. Houleau hésite, paré seukément | Je süppose donc qüe 4u: n'as pas agi
Oni; mainteñart, reviens vers dé-son tronc argenté, et que le à la légère ét äd'en t'otientant vers le
moi, assicds-loi sur. mes ge-|chêne, roi de ces licux, ne dai-pmariage, tu l'ihspires de motifs nobles
noux, calme-toi entre mes bras, | gne pas seulement-sôrtir de-son | °t chrétiens. lever une famile sans
au chaud de mon COEUr, parle-| majestueux engourdissement.- { chercher à entraver'les vues de Dieu,
moi: 4 à des arbres qui-préfè- rendre ton mari heureux, soutenir sof
#Grand” iière, “qui donc: ap- rent d'a bord se RUE de courage et le porter à la. piété, voilà
Fprend la .rpusiq aux arbres”? fetüllés, pour r Jles])yue. faché"méritoire miais qüf‘su
Grande ne _à} rend : fleurs à venir, co e mafï- une, haute dose de renoncement, da
Aux oiscaux À 0 Et'Tes! ronier: Er, com traire, { our solide et d'esprit chrétien.
fleurs, grand mère, pourquoi | | qui, avec-uné jolié cr
é,of-| Les filles à tête légère ne volent pas
ônt-elles châcure"leur pesto ffrent aux pi d'avril toute ! les défauts. de leur ämoureux on, 51
[leur couleur? "Et qüand je sou-
leur fortune de 1 ‘année ! elles les voient, elles comptènt sur le
ris, grand’ mère, est-ce le Il n'y‘a qu’ un prininpe. inariâge pour les faire disparaitre.
© [Die u Chaque être a le sien. Le mariage ne transformé pas, il lafs-
re S - .… (QJuand-nous irons nous pro-|*° les-gens ce Qu'ils. étdlént Règle
Parie, “parle encore, mener daus'le Midi, je te mon-|##nérale, le jeune homme traitesa sa
Moi qui ne sais rien, presque trerai un aloës qui ne fléurit|f°mme comme il traitait sa mèré et
tien, je Le dirai tout, car. ma que tous les cinq ans, maïs qus-|*®5 soeurs; et Madame séra pour son
sciencé à moi c’est de l'aimer, sitôt, terrassé par un si long ef: | mart ce qu'elle était pour s6n pète et
eétcèlæ suffit. ; [fart, ilse dessèche et l'on dirait |°°* frères. En se mariant, Mademol-
Aimons-nous.
qu'il mevrt. selle change de nom, mais garde ses
bien..plus.riches que moi. Je Et puis, quand tu seras gran-| nya des plantes qui‘ne sont intlinations et ses défauts; Monsieur
ne leg envie point. e, ne m'oublie pas tout à fait. L
ne change ni de nom ni de caractère,
. u’une fleur, d’autres, au con-|
De son fauteuil, où ‘elle est Reviens me voir, te nfirer dans | ee doût Fe mé voit pes d'in: C'est bon à savoir et à méditer.
maintenant confinée, ma vieille [mes yeux qui te connaissent Si { time épanouissement. Je suppose que ton prétendant est
mäman les admire beaucoup. |Vien, qui lisent jusqu’au fond
Si sfléchis-à I en état de se marier, qu'il sait écono-
EL snl àes.vrais enfastis: dé toi: 1 je réfléchis à tous Les SENS | miser! Car l'amour est poétique, je
r Ele-ne les voit guère, mdis| Et quand je ne serai plus
que j'ai rencontrés au cours de |;2 éoncède, mais 11 ne nourrit pas et
leur forune les éclaire. d’un si souviens-toi de moi, pour prier, | "2 vie, j'en ae à croire qu'il lies fournisseurs exigent. quelque chose
beau jour qu'elle ne les per” |pour vivré, pour aîmer. + vs Se LL > gt tères il de môins vaporeux. Et toi-même, sais-
jamais-de vue.- Elle veut avoir | : Car il fâudra aimer à tonl"°#Peces ce P a je ÿ- CMAT tu parfaitement tenir maison? . Une
de leurs nouvelles et lorsqu’el- | tour. cun a sa manière de fieurir. jeune file ne devrait jamiats ouvrir la
és manquent (is n'ouf guère Te | . Tu sauras très bien J'ai peut-être été injuste en: }porte à un prélendant avané de pos-
temps d'éerire), j'iuvente de ‘'. EF: vers ma mère, énvers MON MaA- | séder une parfäité maîtrise des choses
belles histoires toujoutrs en des- ri, envers mes enfants. Vais-je | du ménage: ear là-eompétence da
sôus de la vérité. leur adresser le reproche dé ne cet art seit plus au boñhenr domes-
C'est souvent par ‘saccades m'avoir pas connue, noi qui les | rique’ qu'ine” voix ‘cultivéé ‘et Que le
que se ressemblent les généra- ai sans doute mäl compris ? fini du doigté sur les touches du piano.
tions.
Ton miari se lassera plus vite de ta
Par-dessus la tête de ma mè- lors-| beauté que'de ton taleht culinaire:
re, je tiens la main de mon cher
‘dans |:on amour du foyer, ton tour de main
ra \
pas pousser
au fanatisme
bon
aussi qui me’ fait souri-
C FRE F Aline:
S89: re. SOR nt et pur
gel @eé-qu'it veut”. Ta mère
est x femme: d’un agent de
change qui a page sa chargé
de son père, - Ils sont riches,
Maïs quel est cet enthousias-
me qui m'égare? N'est-ce pas
de F“ombre” de ma vie que tu
m'as dernandé de te parler?
Quand fu'°es pèrs de moi
l’oxbre n'existe plus, il n'y a
|que le, soleil, la joie et l'espé
Ma' chère petite Aline,
qué tu me vois plongée *
gra ..êt par-dessus celle | rance. mon ombre”, ce nest pas à: moi | à rendre’le logis attrayant charmeront
de € je tends La main à mi! .Elbigne-tôi ui peu que je ter- 11€ je songe ni à mes jours |ynlès ton mari que l'élégance de’ tes
Aline. . [mine de “gribouillèr mes peti-| ma'heureux, c'est à tous les |tofettés, la richense de tes fourrures
. …. tes” pensées” sur le vieux regis- mic ns NÉ je n'ai pas tr et la va?Tté de tes relations. . Le-bon-
joi mme ent voulu. beur famillal et le succès fepéserit | Ce
La p ande joie quedtre de mon grand-père. de 2e aûraien
m'ait proeurée 8 à maman, c'est} ” Me voiéi dans mon île, au mi- Né me plains pas, Aline, !|ävañt tout sur l'esprit d'économfé àt
puisque je ne le mérite point.
le savoir faite des fémmes. Les têt#s
Mais aimemoi, aime-moi!
folles ne s’ ère à ces. à
dérations prosaïques; elles vivent de
chimèrés et oublient ‘de préparer lés
licu de mes bois. Nous ne soni-
mes qu'au commiencement d’4-
vril, mais la saison est en av
ces Avr Æmhée,
"Quand le soleil se cathe, le
de me paniee a menue per-
que deux |
“m'ihvile à ve
prendre “avec une Ps Rat rer À
FIN
r te
A beau voyage Fa, fs au rc-! bois, où dominent encore les Aucun homme ni aucune! Je-n6 16 <lasce pas dpi Jeur
il Ton père, qui ne |rameaux en habits d'hiver, ne | femme ne devrait souffrir des |"aus; mais m'intéresse assez à tm |
r« ae” — sauf de sa! ferme qu'une masse acte, cors lorsqu'un s0 ment si what répétér: SES
fille, — nous avait retenu ün|ferniée aù/regard. si le ,certain est à sa disposition avec |F#féchts 3
it. 1! était en avant du | moindre rayon "trave cn nue “Hollow éd ’s Corn : Tu verras que ts" marraine a “sd
er”.
grande dame d'une histoire bien éonnue qui, mieux mourir
. 0 vou, eg ang
par une jounée bien froide de l'hiver, trouva er “connu les’ ‘doucéürs du bien-être, pensez
religieux fransis de froid et aussitôt sori cocitr!. cétte vie pauvre. Ares
-Te“snis bien æ-quot: je- wesedi |!
fondements -de leur boñtieur "domiesti. |‘
tes
‘| sur le bras; 1 y « bien d'autres sche 1
teurs
res : V3
‘encorét
, | Sans “compte aux qui ee a:
< flat dd
Mie
que pour écrire, Je te |f du bois œissitét qu'elle sérüit à la maison, Mats:' Se contenter is eu Ées dE Dir api} Celle es Rp Vies
Fo les quelques minutes qui ar ho jusdu’à te À pôar la volonté! Et ke parole |: nt
u Fa | 0" retour chez elle dimin on ardeur, : d “Seighéur: “Hébreux les pduvres"|
étre conn , 4 mes oi-|e* trouvant son “hoine” confortable. elle se n'est pas assez Lane. Dour éontrel iañcer
fière Front ML. Es ‘[sehux, des bêles de la ferme. | dif: “Après Tont, il'ne fait päs si froid; je vais mire du “Présent
ce le béhe sac: e ” |: Sôn premier soin; en prenant bosses. -
GERTRUDE: ©: [sion de son poste, na été de faire âtf- |
cher’ dans'tous les bureaux cet :
[ne
{
ù ic “He buréaur saut silencieux. - nt
Faurera-tn? Se
gg —
Les sourds au théatre
Les sourds, aux Btate-Unts du moine, |
Le <$
| CE
h
4 PERS es ha
“Maladie dela à
TS F'avais dû « qui
1 Me Themes Money, de
pär: jour et em re -quantité; ‘et.
RARE doit Etre finement liachée! |E°
+ Me 12° 14 régéhier# #64 ue
tion n6 1 appürtiént di démattre de: la
théologie et je vos conseillé" de con
sulter votrè côtifesséur: *Tüatit . qu'à
tré, gai toujours entendu dire, et
l'expérience 14 prouvé! tous: Tes: jours,
qu'avec dé la patiehce on viéht à bout
de tout.
LISA —- Les légumes, pour être, à
gestibles, doivent. être bien cuits et
bien écrasés, car l'enveloppe ah re-
couvre uñ grand nombre d'entre et
“ésts indigestible. Le pois,-par exéñi-
ple, est un légume: très nutritif, mais
son envéloppe est indigéstible -et fl:
arrife: souvent,|-surtout chez-les en-
fants, Qu'il provoque des troublés-4’in ;
testins. ‘La pomme de terre, qui joue
un rôle si important dans le meni de
fainille, est un légume qui rasshsie
facilement mais qui n'a pas les qualit
t6# noùrrissantes de {a fève. Les len-
tilles, qui commencent à fe faire uñé
réputation dans notre pays, rônfér:
“ment üñé grande quantité de fet- etig
pour céla sont un excellent aliment
pour les personües fables et anémi
ques... 7 *.
PETITE JEANNE — ‘“Bagdad' n'ex-
iste pas seulement dans les contes fée- |
riques, mais elle est la capitale de la
province du même nom dans le #
est de la Turquie d'Asie. La ville
tière est entourée d'un mur: de ciiq
milles de circonférence pe de 40 pieds D RUE EMA: RM
de haut.
ALICE L. — Vous pouvez vous pro- || ; 4
curér les sonates de Bethoven en un: == . ; 7. ES ns
seul cahier ou bien les" acheter sépa- EE FFE mins , ESS + 4
[Pendant Année cg à pr
SRRALINPORAETE. EN
ne PO MOSS € BC Be FEMOET
égale preèqus le menten: de toute la
collection. :
MERE-GRAND
2" 220 -2— —
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Justin %4--11 racinea de ‘de rhubèr-
L 116 ruschias . tu
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On s'oééuige d'avoir un éléraisur di du
“Wheet Fotf”. pour Prince-Albert.
1ù 48.00 14 sv 10e ox
page E7] pre”
Lt
(°) tr
MR E
" Dédloctélis lbérate libérale de Docu Lake
a éffert un bänquet # f'hén, Dé Ukrich,
FE mp des Alliés, le 7 février,
Re me
sr gare par:
‘Association et une nombreu-
se. pi” an gs ge citoyens. Des éom-
pliments T düs à l'hôtel des Aillés
4 T'excellent miénu servi au ban-
Pré adresse fut présentée par M.
M4. président de l'associa-
tion 1j L'hon. Dr Uhrich pro-
noñça, u9ë , Bloquente' allocution. fai-
sant ressortir les difficultés qu'a à sur-
monter: le commissaire des liqueurs
an kde faire aucune déclara-
Nr ÿ 49 l'inauguration
orateurs orateurs ont été WE.
Er he gp T' Gervais. -, Inutile. de
qe fut,up banquet à ja fran-
éay4.par des chants LE dt
.…. ‘
Ra rétiléourbté “aû Labledir: fut que
lefänfitations n'avaient pas été ass
nombreuses. . Combien plus des amis
du Dr Uhrich se AS ras fait un plal-
et ne
sir d'aéstétor Tepäs en sa com.
pagniéT édier à cette la-
cuve, tou paroisse fut convoquée
par M: le cufé pour le lendemain soir,
dttmanthe, à l'école Stobart, À une par:
tie de’ “whist” à laquelle notre grand
* ami a bien voulu assister. cette oeuvre; M. l'organisateur invite
Serait-ce trop dire que d'affirmer . habitants de Duck-Lake'à ne pas
cette sotrée fut la plus belle sensation
qui eût jamais” liôu à Duck Lake; par
la si grande assistante {là salle étant
trop étroite pour tous); par l'entrain
et süftôut par la joute d'éloquence en
tre nôtre orateur à noûs' —- j'ai dit M.
le curé — et le Dr Uhrich. L'espace
manque pour dénner même ün-résumé
de ces deux belles allocutians.
. Lorsque, &e basant sur la haute va
leür, les précieuses qualités politiques
religieuses et An-citepetlabpioié es:
qu'à sédour par notre député À Rägt-}
ha, Mile curé faisaitite voëh el éans
doute même la prédiction que ‘notre
représentant actuel à Régina change
de champ d'action” et, loujours plus
haut, “soit envoyé par nous à Ottawa
M; 8 êâré, dis-je, avait là souviction
qu'if bé” ratiuit l'interprète 1 lion seule
ment de nous tous présents mais de
tous les nombreux’ amis. et admira
teurs du Dr Uhrieh.
Qui! le Dr Uhrich,a déjà un beau
= ————
gl
er ‘qui régularisent leur or-
Il ne suit pas de
Wañgef pour être bien
Votre table peut être chargée
de-mets pe à une s et qui se
digèrent bien--et. cependant
vous ne prenez pas de forces.
Quelle en.est;la cause? Le foie
est lourd, l'estomac est sur-
chargé, les’ iüleslins sont parcs-
seux. Les Pilules : du docteur
Hèmilton! voüs soulageront ra-
p ht: Blles rendent forts
les gens malades parce qu'elles
libèrent l'érganisme de toutes
leg .impurotés -qu'il contient.
5 ed les Pilules du doc-
tepr Hamilton ne souffrent pas
ir Homo e constipation:
ils se sentent vigoureux parce
que ne organisme fonctionne
très bien.” Pour revitaliser et
stimuler, tout votre organisme
pour secouer. votre léthargie et
ue fatigue, rien ne vaut les
les du docteur Hamilton.
es vous. donneront certaine-
méêht de l'entrain, une belle ap-
parence et une hgnpe santé.
us chez tous les marchands
É ‘a Gatarrhozone Co., Mont-
r per af 'y
‘ < din DU ACER
\
+
#7; Le A |
+ : * a : v À £ . Por: LS AS : “ Y Le TS :
a te ne dotation once nant ai Latine diem testeur 4 agen tas came monarque mages 2 ee gl et tn ati nat emnutne mndininnn mens —
| de récréations des garsonis et des fi-
Ki at AS Jo RCE, La. F5 ave. 56 Ch A
tr
un page ar LE
entr cias L'"
les, chacune de 40 x 62 pieds, avec
cabinets de toilette et cabinets à dou-
vonduire dans la blanchisserie.
L'r rez-de-chaussée renferme quatre
salles de classe, deux chambres de
cottere, sept chambres à coucher, le
aureiu dé la surintendant, de partotr,
eté;: Lé Chapelle, qui se trouve égale-
at at ‘rez-de-chaussée, :# 30° x 62
Didds.":
Au prémier étage el aü.second sont
situés les dortoirs, l'infirmerie, la salle
de communauté des sôeurs, etc. Les
escaliers sont ous à l'épreuve du feu.
La construction a -coûté $150,000.
Dans ce nouveau local, les Pères
Oblats ‘et les Soeurs Grises vont se
trouver mieux én mesure de var
l'oeuvre de l'éducation des petits
diens, à laquelle fls se dévouent
puis de longues années avec le sèle
et le succès que fon sait.
.
Lé 6 tévriér tüne assemblée dé la
Croix Rouge, convoquée par :M. FA.
Maïrihäit, Hgdniiatour régiônat, de té:
nait à l'hôtel de ville, sous PA préut-
defite" a °° Pr: Delhas, OM, avec
M."J A: ‘Dionhe Comte secrétaire. :
.: Eh fFançais d'abord, püis en anglais,
M. l'organisateur, personne bien Syin-
pathique d'ailleurs;sft l'historique de
cette oguvre philanthropique, née. dx
rant là guerre des besoins pressänté
d'alors, et qui poursuit sûn beau:tra-
vail en’temps de paix, en soulageant
téutes les misères-dignes d'intérêt.
Durent : la guerre, la, population : dé
Duck Lake s'est mise à-un rang à
part par sa grandé générosité pour
la laisser périciiter.
Après quelques paroles de remer-
ciements à l’adresse de M: :Mashall et
d'encouragement à toutes les person-
nes présentes, M. le président tempo-
raire procéda à l'élection d'un comité
de réorganisation.
M. l'abbé Morin, curé de la paroisse.
Rév. J.-B.
est meet: À président; le
i Fi.
Bunting, ce-président ;
Campbell secrétaire.
À uné assemblée ultériente, ces off.
ciérs doivent se choisir un comité de
direction, ce beau rôle de dévouement,
revenant naturellement aux dames qui,
certainement, ne voudront pas démé-
riter de leurs devancières durant la
Mme
VAL MARIE
Depuis une quinzaine de jours nous
jouissons d'une température idéale:
.la- neige est presque toute disparue,
les ruisseaux et la rivière coulent, ce
que l'on n'avait jamais vu à cette sai-
son. Les férmiers en profitent pour
finir de charroyer leur blé et, les ha-
bitants du village pour améliorer leurs
bâtisses ou en faire de nouvelles, M.
Chicouane termine son installation
comme boucher.
L 1 a D Le
La semuine dernière, M. le Dr Per-
reault, de Willow Bunch, ést venu avec
M. Lebel visiter la place avant dé ve
nir s'établir parmi nous
L1 . e
M, Emile Paradis a acheté le quart.
de section de M. Aristide Nadeau.
Li L 4 L]
C'est Je moment, par le temps qu'il
tait ici, de profiter de venir voir les
férmes de ceux qui sont partis à cause
que le chemin de fer tardalt trop à
venir. Il est aussi presque officielle.
ment certain que de bonñes terres jus-
ue vaste
qu'ici oceupées par des “ranchers" re À sale, seront alimentés par re :
vont s'ouvrir comme ‘“homesteads" Le gui leur am amènern l'eau de la
pour des fermiers ou fils de fermiers
séulement. Avis en sera donné à
temps à ceux qui veulent venir ren-
forcer notre grouje, car nous voulons
arriver à avoir le moyen de vivre par
nous-mêmes aussitôt que possible.
L] . L1
L'eau manquant pêr ailleurs sur la
ligne qui aboutit À Val Märie, le C.P.R.
améliore ici soë réservoir à eau où il
est assuré de n'en pas manquer
=
| LEUR ARS EN 7
= httrh.
a ———_——_— —————_—— ——— ——_—_—_— — ——— ——— ———— — ———
Mércredr lé 4 février à eu iiéé 1à
swmblée du conseil municipal de Car
tiér pour engager un officier de santé.
Après un long débat où les üroits des
électeurs de langue française ont été
si bien défendus par_les conseillers
C-B., Franklin, "m, Lynéh et A. Béau-
dry, on'a faÿorisé deux étrangers, les
trois autres étant, en faveur de. deux
médecins anglais et protestants
Comme le vôte décisif avait été laissé
au maire, M. J-S. Picaïd, de Saïnt-
Eustache, nous éspérions qu'il aurait
pitié peut-être de ses électeurs. Mais
il'a voté ‘pour Ja motion anglaise.
Nous avions âuparavænt comme off
De nôtres qui, mäl-
1 HTERAE trouve (d'atl-
leurs qui est parfait aux yeux du pu:
blic?} avait À coeur les droits du pau-
ivre et de tous les électeurs. Mais
“chMime ce pauvredocteur. était tombé
en disgrâce gg des .aütorifés,-on
l'a mis dehors.
} Ni 0 ganseill say et Monk-
ise Nous | ere + | üne leçon de pa-
dtisme at Los dE et Bous les félici-
wi de pa ur” "Au conseiller
C.:B: Franklin tous devons doublé lou-
ange; car quoique Anglais et protes-
tant, cet homme impartial a su s'ou
bien-être de ses électeurs êt il a voté
avec les conseillers T. Lynch et A.
Beaudry. A ces deux dertiers nous
deyons un gros merci. 1l est vrai que
la satisfaction d’avoir accompli leur
recouverie en
toutes sortes de salle salles Ÿ
pe d'aes PA
de tous ceux qui visiteront V
” ee
Ya: À Ne D Ju
‘rent: pour les-hommes, Meerschand.
* FNap. Callewaert, prix de consolation.
\ Pour” les dames: Anésie Boni
| de vaisselles à dessert, ‘gon de l'orga
| nisatrice de la soirée, à 6té gagné
Pt fLoafEredo du Paysan,
blier jui-mêmeo pour ne _pènser qu'au
Victoria sera à dotée d'un ‘superbe Palais de Cristal 2
rendent durant toutes les stisont, un,‘
câsino comme il ne s'en trouve sûre-
ment pas beaucoup en Amérique. Ce
EtEA Une vaste es toute
ts,
une piscine de natation géante,
bains
Four ed ame) un
ll s'y trouvera en-
core un spacieux et diverses
autres attractions qui feront de ce
casino le rendez-vous de prédilection
ictoris.
LI ra connu sous le nom de “Crystal
Garders"” et s'élèvera à proximité du
Er pr mg apr PE vec ner | | put d
le la v ne encore : À ‘ be
Pacifique Canadi HE , |
dr es grandi entres et Le use es | jo de VA Re = po et ire k
villég/atures agada. genteen Europe, sera à une nou- æroat f
FR MESSE Slt .
ÿ
pont dust: à het
à mme 4 @ 2.
Le dE. 3 4
l'utile; à l'agréable.: J1 y avait juste. |.
ment assez de bonnes gens pour faire
un süccès honorable de la veillée.. s
Lés heureux gagnants aux cartes fu-|.
der. prix; Marius Roche, 2me, prix: Sauf pour les vas Fos à 4 GS
vient de la’ ruptüre
jambe, Îles médecins attribud t Fra
prix; Mme Josephat Bonin, 2me prix: néralement ta cause de cette ape
Mme Marius Roche, prix de j
“Le-servicé 46-tüble, Collection
fm
nu:
s “ton où À
iu: ;t 00 6
CES v
; ph set.
*!
À de faire à l'Académie de médectne,
à Calot, de Berck, montre que, dans
la plupart des ‘c4s, cette manière de nt à
Lin est erronée 1] 4 pa mettre en Sr + oct ce
dents qué, Wir 1,000 persontés, wné | } Le chemin de ter d
r { petite ahomälie ne
trétäine environ: naissent avec. une et Iranton,
me ou d'ajustage — des deux surfaces
irrégularité dé for- ak
articulaires de la hanche. De ce fait,
la hanche est ‘moins solidé; et s'il |
vient à se produire un-effort, une chu-
te, une maladie, la détectuosité s6 tra:
duit per des douleurs ou des boitéries.
La rupture d'équilibre peut se produire
de bonne heure, c'est-à-dire dans les
prémières' années de l'existence, ou
bien Seulement à 20, 30, 50 ans, C'est
in raison pour laquelle on d'Avait pas
drS- eu l'idée de faire remonter la éaüse
11 est probable que l# prochaine par- |.4e és troubles à ue origine soude
tie de cartes ñe . era |Vèrs le & nitalé:
mars. Dès que la boñné dame ‘qui #. OéRce tt ‘roéiérénes”
voudra amer. l'option d'une crues et rüdioté ad
…
Maitrise Je mal de ee
gorge en peu. d de temps |"
le ar 2 ur rhtemmes-Vérieux ‘vous
étreint” la gorge, Nr L vous -fait
tousser ou.p es c'est
le témps'#’ da Snitaueh 1 2 vlellle
“Nerviline”. Ce ertailioen liniment
pénètre tous les tissus et va jusqu'au
coeur même de Ia païtie malade, Les
effets qui dérivent de l'usage de. Ner-
viline sont extraordinaires, et pour un
mal de gorge, tne oppressien de pol-
trine où un mauvais rhume, aucun re-
mède-mrest- aussi efficace. Cinq fois
plus fort que tout autre linimert, et
doué ‘d'une nuissatice merveilleuse
pour maîtriser toûte douleur, Nervilisé
est nécessaire düns toute famille,
Achetezen une bouteille de 35 sous
sujopre hui.
er Jean-Baptisie, Depis.
Les chanvons de la : soirée turenti A À
pbr se
Denis: ‘La Berctuse'de Jocélyri,
Jeanne Jacob; “The Kind Words”;
Marguerite Lipton: “ivresse spy
par Irène Ramsay et Eola Roy; “Au
clair de la lühe”, par Julien Lambillot
te. M. Ben Vah Malsep!a fait les frais
du comique en faisant du vieux et du
nouveai, : 11 faut dire qu'il y. avait
aussi'sur le théâtre ti instrument fort
curieux qui a. causé le fou riré À blen
dù monde! c'était? cé! du ‘on D ar
“The funny gamergut à d*
V Le résuitat nét: dé ta: dire a 'ête
945.00. ‘Grand merci à tous!.
CLAIR AE. de
Mais, parfaltement!;ày a.un moyen |,
de ne pas avoir la grippps«æaest, d'aller |
vivre aux environs du, cerele : aoinire
Demandez aux explorateurs de 'arc
tique et ce l'antarctique, Shecok
Scott, Shackieton, Amundseh ont cons-
taté que, aux cours des expéditions,
nt-eux-nt 1éürs (compagnons n'avaient
attrapé le moindre rhume. La grippe
ent un mAnl des pays habités et clvili-
sés. - C'est une affaire de contagion.
11.7 a, au nord de l'Ecosse, un grou-
re d'iles, les Hébrides, dont la plus ù
PAR L
m. PHILIAS LERLANC,
ennrves d.
1e sal d des és rnE
mes ee cye PEN sant ?
de- remèdes.
Lés Pilules More sont pot
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sous lé boîte.
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#4 se ui Li ET |. Se J'ai domendé: ‘une expica te vieille inür- l'orthographe om Ta je un‘beau matin, qu ne rent aux'orcilles, pagnées :.
3 est Bien di Font ce quel lion, “H1 parait que “mener la ah e vieuie tar #90 1" Léis ma grammaire. J'écris dé| cours à mois Gran ne Mi ann On Pe à
de + he à du Gates À à vie” c'est aller au cercle, ‘aimer UR doté once rès, con choses tonnantes, peu respec- pense line Be ra _. Faire volte-face, fondre, d'un *
. : |dences de nr tueuses, gl Je ne garçon. Refus de Mère au | bond dec importientés, die:
La belle affaire! Chacun mé-| __ [a sonnette de Madame ne pas termes: gg dine. pe dat 4 de droite” 2e res
ne la vie selon ses et “grelette” plus bien. Madame tent souvent le parço J'av a+ pétea/arg <A ; [einq-ou si souffiets t :
Rad rté Pix u. Mes |ne-s'em doute et ça lui fe- bonheur!). Mais hace vs à t Tiélas! on ke
: [fois une ke tolodon Fe cassant ont raison del rait peine de la changer. Je beaucoup Re une me pour ju ia er «304 ee aie] mu, DES Lis Ces
# cinq fasses tasses, ndis qu’elle cher- fair per tes Ft + caf vais acheter un Scarnel mous: pre nde à l'analyse, Pr M “nes réamie prflerparn h tant de É
, vaut mieux de 1 an ai tique” comu:e celui de M. le cu- pe que. cs ant, vu mon | 1e mère cris, ni tant de larm
ne fe ille d'or d'oranber ou de la bou! Los ré, pour mieux entendre quand ee, na re ru, "
pe que ai foi mes on cie m'appelle.
Nous différons du tout au
rand'mère ne Ja pas
sa t . à : "
LE Non! NL y'e erioure les de. |; C°Ue baie de cheveux blanesi ee ren ve rl chouc si on m'avait laissé faire.
Elle sait bien qu’a-
Qu'il doit faire cn-|tout. Mireille aime l'étude, la |mestiques de grand’mère, pres- Oh! ! 1! C Le lait, les eaux |
4 vs jamais! jamais! C'est ul.
dre Barnes : d'étudic parce qu'il le que des parents, {ous ces vieux- pe a gg ae métier -de cul-de-jatte. Si je
oire sainle lecture là; puis, mon amour de Four-, mes parents pe ar sous voir, dois, un jour, gagner-ma vie, je
me ferai écuyère d cirque,
rhumatismes comme grand'-|. A ka cuisine, Gofhe, inabor- |" qu'il Y à, par xp Na mousse, sen de bar
mère. Mireille a dable. à l’ - [invité à Montilleul, on renforce je ne
can 4 pau” À te jours + res = re la vieille garde d’un bataïllon us A rourbille rémue, N'est-
= les aiguilles. Mireille craint la | bomme à moitié, car cHe à dc de_mobiles, composé de” «ing 4 2 Bou, bou. Oui oui.
pluie, le soleil, le vent, le froid, | menton plein. de barbe: grin- | "Yeux et nièces de Tous ces vé- ,
danser... au dit,
A la suite de cet incident,
aussitôt qu'une dame parlait de
ma sottise, une auirce s'empres-
sait d'ajouter quelqués mots
ue” ma je pense Li A
Non, je n'étais pas. an-
Mais j'avais dns, da tête
Trop aujourd’hui encore)
à mon appétit, on finit par me
donner de la soupe.
n'arrivait pas assez vite..je cri-
ais à la fois de faim et de wolè-
re, car j'étais fort méchante à
cet âge, et je possédais, au dé-|t
sespoir de foisire, des. pou-
: sans. hs ‘élaitpes elle passerait la journée entière | che térans.. Oht-les:pauvres mobi-| ‘Allons, pd 54 à ma nais-| mons __— une provision de grains de fo-
: A arche, | JE Ÿe sie | sur un fauteuil; je trouve déli- rm D rer mais bonne, les! = faut Ia bonté, la géné-|sance: grand'mère dit que j’au-| A° cinq ans, j D LL SA Ré à] lie PA je semais par rl
devais pis servir de cé mt, |cieux d'être arrosée, #eéouée.|feu, l'huile bouillante, dans rosité de gramd'nère pour ser-|rais dû commencer par là. Pau- | un cotosse soprès de Mireille “ sement sur ma. route.
a n'importe pôur faire plai- | "+" 4e, calmants, d'emplâtres | vre grähd'mère! A son âge, on]de Bérnard, de jus delrenis, très ‘calmes, habitués
sur lés horions très variés qu'ils procède par ordre: mais, au
reçoivent pendänt ces corvées | mien!” Au mien, on fait comme
se à Pr vu -4 nd Fous qui gambade au petit bon-
j out, esi Téroce oucher à ses|heur dans À ,
Mauvaise santé se traitent avantageu- ins En casseroles amène des rugisse-|v’est bon Tee be dur re
choses étonnantes: bonnets à ments; s'approcher du four-|même, pas une bride sut le cou,
isses: € .[meau- est une déclaration de|rien qu'une crinière
guerre; prendre un ingrédient | secoue la brise de la forêt.
niche des chiens, assisé entre
see à par r emploi a
7 a 3 + à manches de capuci ta-
; À lons qui dctndeet Cr League né 36 ést la guerre mr à Je suis née à minuit (c'est ce
dr L bottines. Je coupe l'excès de, PuIe S0n AOTreur, avec Sour-|que Ton appelle voir 1e\jour), | Milord et np et barbotant
! longueur, €t Julie ne décolère ux dans l’'énor-
L . [pas sur .le> rapetissement des |)
lon, il faut que je dise deux terriblement au dehors. Cette |chaque matin. Je trouvais cela
peu banal qui fait mon
vait lui-même donné des re- sa nombreuse famille. bord, elle est Anglaise : premié- avait décidé, en famillè, qu sil Eve, et me sens un faible pour
les Pilules Rouges furentce- . |°t le cadet ne vaut guëre mieux,
flets en guise dè coups de feu... oui, à minuit, pendant que Îc|à quimieux mi
! vla d’ aûüjourd’ hui.
np our les Fe emmes P âles et Faibles mois -de Miss, bien que, sans | Pourräsque n'était rien, paraît- lilélicieux, et si amusant! Puis,
+ type ! f conteste, je lui préfère Tour-
M. bonheur comme je fais le sien |billon. Miss est pourtant très | "9 arrivée. : plus attrayant que ce qui est
mèdes ; j'en avais pris-d’au- - | “Ah! mam'zelle Géva; mon|re raison d'ahtipathie; deuxié- fallait un garçon. D'abord, Ber-| elle, bien qu'elle soit caûse de
2 | lui qui m'a le mieux réussi. CH Perd 0e GRR, 39' ne 20
aussi à la tranquillité de Ber-
nard et de Mireille, ne compre-
paient pas, pe fre rer pas
ma nature vif-argent. Toujours
grondée, toujours punie, je re-
cevais peu de è caresses; en rer
ce -peu
et je sentais parfois un besoin
inouï d’affection, de tendres pa-
roles, une vraie fringale de bai-
sers. :
Bref, mon enfance n'a pas :
été heureuse. Sur les douze
mois de l'année, un seul me fai-
sait goûter une joie sans mé-
lange, celui que je passais à
Montilleul, a da chaude at-
mosphère d’indulgence et d'a-
ur dont m'entourait greng-
viande, d’huilé de foie -de mo-
rue, d’iodure de-fer. ; Æchaquè
repas, .c'étaient des supplica-
tions, des prômesses, des lar-
mes, pour leur. faire avaler une
bouchée, tandis que, malgré
-surveiHance-sévère;-on:
trouvait fréquemment vers Ja
sir à mère et à sa *
tité pr | à grand ,
A la lingerie, Julie, si vieille
qu'elle raecommode à côté des
; | ai sang pauvrè— les n : débilestne
——— ——û —
Depuis que, sur mes traits
d'enfant, elle avait cru hd
une ressemblance avec grand-
père j'étais devenue sapréféréc.
Sans qe me l'eût. jamais
“dit, je pais fort "
et lui rendais sa La ane avec
une passion folle. Puis. déjà,
jai is tant Montilleull, C’é-
espace, J'air, la liberté de
crier, de courir, de dire tout ce
qui/me passait par Aa tête ct
par le coeur, C'était aussi le
Charme mystérieux qui s'atta-
che aux vieilles demeures plei-
nes de recoïns étranges, cf-
frayants, :
ontilieul date du ‘scizième
siècle. 11 a un petit air de chà-
teau seulement par les tourelles
qui le pu 4 ent aux extrémi-
tés; et Pres uit serait lui,
si, dù haut en bas de son im-
mense façade, un enchevêtre-
ment de lierre, de LONCrS, æ
lématites, de chévrefe
faisait de lui une vorbe lle de
fleurs aux nuances les plus va-
riées, une cassoletle aux
fums les plus doux, une volière
aux pres les plus ravissants,
car il y a des centaines de’ nids
au ieu de tous ces rameaux.
. (A suivre)
pas ensemble, suivant l’expres- blait Toujours de le perdre;| Hélas! on me défendait bien
sion de Sidoine, Elle “corde” |Puis, et surtout, Mlle Aurorc|des choses! Exubérante de
avec Mireille, aussi froide aus. du Vésian du Hautpas, vieille | vie,. il me fallait du mouve-
it un Alenl, pour ap vou-|ment, des jeux bruyants, dé
eul Era l'appeler | Fair. ‘Tandis que Bernard li-
Avant de parler de: Tourbil- | Yent et la pluie se querellaient | me écuelle qu’on leur portait
Au jardin, 1e père Eusébe, un
il, à côté de celle causée. par | c'était défendu, ct qu'y a#-il de
ménter mes forces; il m'a |en écoutant ses doléances sur | savante, très bonne: mais, d’a-| Depuis de :longs mo is, on | défendu ? J'ai toujours compris
tres aussietaitrouvé que |grand fils Bégonia est malade, |me raison: nous ne “cordons” nard étant maladif, on trem-|nos malheurs.
Une vieille parente me les pberculose, a s'en va de ces vi-
laines maladies d'à présent.
avait recommandées et je Mais ma nièce Clématite gran-
l’en-remercie”. Mime Patrice -| dit: il-lui pousse des boutons.
Cormier, 150, Parker, Gar- Savez-vous ce qu'elle vouleit
dener, Mo e cette effrontée?. Voir le soleil!
_ Ah! la jeunésse!.. Je l’ai mise
“J'ai employé les Pilules |cuntre lemur du pavillon, et In
Rouges et je n'en saurais voilà qui dresse ia tête, comme
dire trop de bien. Elles ont®_ [Patins j'ai enterré un vid’
eat ve rer qui m ee oncle, l'ocillet Paul, que. vous
ait depuis des mois, ont aimiez (ant. Un mulot avait
fortifié mes nerfs, tonifñié lrongé son picd,.cric, crac, en
“Mr 3e et ga cesser se Jeune: ra bête!” etc.
es ements, gouñle- rie, Sidoine, premier
|ments que provoquait une jockey. à quatorze ans (??) du
digestion lente et CS aire Ge ppm vai Pavel
UDurant deux pee j'ai 1e Jeux dis dise saGté que jour). Il-a-eu dix fois les
k côtes, défoneées, son coeur a
Pc. souffert de mauvaise diges-| dont je jouis aijourd’hui”, cessé de battre deux fois, et on
©! tion et de douleurs internes Mine Pierre Ricard, 182, ruËë |a ramassé quatre foi -
N fus ls vec 0e és St-Ber=1rd, ruse) ee sur te champ sas
pie ions À a cs tits. malh
| nerveuse pr D nS CONSULTATIONS. Res EP Géva, J'arrivais
” our ce qué j'avais fait GRATUIT Les méde- ,| toujours le premier avec, Vic-
si compassée qu'elle-même, et
elle regrette fort cette élève in- ait un fil
comparablement tranquille à Dominique--£be nom souriait|saît, assis aux pieds de ma mé-
ses côtés, qui jamais ne lui po- peu à mes parents. N' importe ! re, que Mireille s’amusait avec
sait de questions saugrenues, c'étäient Dominique et un hé-'sa poupée, je prenais le tam-
qui jamais ‘ne renversait la ta- ritage’ en perspective, ou rien | bour de mon frère, et mes “ra”,
ble. de travail, qui jamais ne du out. On accepta Dominique |mes “fla” étourdissaient toute | t8i
prononçait des mots “karçon- et l'héritage. Mlle Anroré du |la maison, Crac. on supprimait
nières”. Vésian, ravie, acheta un layette | le tambour. - M'attelant-à une
Chère Miss! Je l'aimerai dix La 4 rang avec, des D — stylc|chaise, j'imitais les hennisse-
fois plus quand elle aura quitté qe ique et renaissance — bro-|ments, les piaffements d'un
Montilleul, bien qu’elle me pro- és à 1 nglaise, au plumetis, à | cheval; il y avait des galops ef-
cure un certain nombre de dis- [tout ce que l'on voudra, Il y frénés, suivis de la chute d'in-
tractions, avec. son- appétit de avait des bavoirs avec “Domi- nombrables bibelots et de la
camnibale, ses dents d’ogre, son nique” en entier; des serviettes | iniense.
corps de squelette et ses costu- avec “Bon appétit, .Domini- — Quelle enfant! soupirait
mes étonnants. que”: des bonnets, avec “Dors | ma mère... si, encore, elle n'é-
A toi, maintenant, mon bien, Dominique”; des brassié- | tait que te trible, mais...
gros fou de Tourbillon. Je t'ui-[rés, avec “Saiit Dominique! Mais. on me croyait inintel-
me! Je t'ajme à en mourir! Tu [Protégez votre filleul”. Eh, crac, | ligente, soite, pour parler erû-
es si beau avec ta grande taille [€ n'est pas un tilleul qui arri-|ment, alors pu Leg ri fait du
i te. rend lé tambour-major ve, c’est une filleule! Une énor- | jeu.un ami toutes les minu-
e-tous les chiens du pays! EF! [Me filleule de onze livres, pour | tes. 11 paraît qu’à trois ans Ber-
quél poil idéal! blane et noir 'aquelle aucun Leg n'était |nard et Mireille connaissaient
long, un peu bouclé, -sdyeux. | 45502 grand, aucuhe brassière | leurs lettres. A cinq ans, je ne
Une queue panache qui parle assez Jarge, savais ni À ni B. vain me
Pendante entre pattes, oh! c'est Ah! quelle pr pour | donnait-on des images, un al-
triste, triste : on a reçu une tape [tout ie monde! Ju ireille | phabet sur des carrés d'ivoire :
Give travail. | qui disait à Bernard;
ata ma santé hé cins de ta Compagnie Chi- * tor, un cheval de fer et de feu.”
mique Franco- Américaine Sidoine est à Montilleul depuis
l'âge de quinze ans. : S'il n
dontient des consultations olus Victor, il conduit ns
. Jules Rouges, qui m'avaient gratuites À toutes lesfemmes | bonne bête de Mascotte, jument
n, De NATURE à une |qui viennent les voir où qui |de graisse et de lenteur, qui se
à | voisine, qu e j'aixcommencéà leur écrivent. ferait porter. par. nous, si elle
de Gothe, ou hien le découpais les maps et jon-
le à côté de’ FAnglaise que tu] 77 C'est bien ennuyeux que | giais avec: l'alphabe
abhorres, en bon français que | 2€ soit une pétite soeur, au lieu! On me mit gt exiemse
tet tie Ans ed lu es. Très droite. re pre ed ru Le ver à Mamañ EE vp couvenk vin. <s fil-
Les Pilules Rouges peut les F osait et pouvait le nder.. .|tu portes mon panier de fleurs, ne quan $ fnoû rl déja
forces se sont accrues, Peu Pales et Faibles sont en vente chez tous Gervaise, femme de chambre, pes age
ere ans, n'a jamais
age, ce qui donne
le journal; bref, ti te sens.très |© elle le saura. Et Mlle Aurore, (ps “Miller! oh
uü En balançoire, c'est le| don! .
bonheur: il y a dé Ja viande, Mlle Aurore était furieuse.
couramment; quand elles. vi-
rent mon mutisme, elles se mo-
spa Sig quitté le quérent de moi, et l'une d'elles
| 0 Mme Phi N Nos Here sr une haute idée de son goût et|du suére, mieux encore: Géva Une fille!! : Comme s'il n'y'm'appela “grosse. bécasse”! malades.de l'estomac qui nour-
| Le Ans ds MS nr ein ln einer. |de ses capacités, Grand'mére|veut jouer, Géva veut sortir. | #vait pas #086s de filles en|Très froissée, je fis la mauvaise | rissent des vers et 7 Drniites
1 Matin Potgen drte eCumgee (la carillonne régulièrement | Bou, bou, bou, quelle joie! Mais |France! Ou aurait sûrement | tête; butée dès le premier ins- | destfucteurs ne potsens saier
#0 - Pointe Aterimiée. époux [cinq fois avant qu'elle entende gien n'esl- délicieux. mon gros voulu lui jouer un tour, sachant |lant, je me dispénsai de 4out|après être venus en
Le J'avais eu pasesre de IMa-| vous les procurer dans loealite, [50h à loup, ‘comme uos fustunts de > | effort, et persuadée moi e laver lu médecine, Leg Pare cd
D 1 ledies Cause | écrives-noun mous vous les caverrons mr rvaise devient- tout ’à |[causeries et de caresses Tu mte| La modicité du prix de “Mo: > «od 7À ne pouvais rien appren-| rapidement exp des in
La | de ma san mon 1n6-| réception du prix, 50 sous la bone. s fait sourde, disait hier grand'- | forces à ouvrir Ja main, qu'ex- |ther Graves” Worm Extermina. 2e PP RPDIEL 2 see tins avec les autres déchets. Les
AN. À deuin m F, COMPAGUE CHMIQUE FRANCO-AMENCANE rt en an grrr vd Ft Jan énorme pate, puis € [et on geut l'avoir chez lous les gere 2 0 ohes AR Le En or + j ‘ et
: à Ms: k pour autres mets énorme et on peut l’avoir chez tous diabie quatre :" “un garçon santé de T t s'améliore
Rev pi de ne ren néghiger pour ang Hate EURE À Lys ds ne € téoinent pas eet- relrousses es Rx een st 44 ris à HE REN EE 6 : |manqu é”, murmuraicat ; triste- ; 5
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ceaix de musique.
&énéreusem nt donnée pr: MM: Ge
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rt Poster, eCenx qu'
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ra pren ler prix dei hommes an fe
; A Joe M. ‘fauchette, à lg deu
ÿ A par Alfred
Müier prix des ddmés à 66 gag par
Mme Atmë Mondor et lé deuxième par
‘ MIi& Anita Cadieux.
ADrés dvoir eñtendü chansons,
Glarmutions, dialogues, ele
parèrtnt, enchanñtés de cette velllé
de famille et aux sons d'une clairon
_hée joyeite par le fanfare:
as
x fous se #6
ANDRE.
je de WIUTE LES à Fée,
| tégurgehit de monde: 24}
Qu'il œt
use la
FAURE Pied eue Phi rg
le aise. Quelle dfffrenes ce
je Ayripathique gvéc: plusieurs mor
LA collation à été
Jne “Jolie
niloffné vendue à 1 MONA rapporté
tout près ‘de #25. L'encanteur à assuré
he pe]
Avant la Masdidiion du mufiare, 1x
LE déposer aux
Let
ré mhee
qe
{souper fut: servi aux Arena el amis,
| de Marie.
M. et Mine Jein. “héuviés “sÛE Bar:
villes de l'Onest, à
Les matiés hf reçu un grend nom-
leur souhaitons bonheur. parfait.
Mme Pierte Bouvier, mêre du ma.
Shdnit-LA
A aasiser x £e me |
rest, M
aus
12 téyrier.
rage
date
mariés
le, “2 février. . 11. donnera!
rence à°}a salle rrumicipale
soir. ‘
Allons nombreux entendre M. Ville-
1éuve,. Ikett bien renseigné:
dra à toutes nos -questions, ‘à
fl'répon.
rs Routier, étpit dé témoin
était ecompe
Après la cérémonie, M. « Mme
Tremblay oht-seçu en leur-detmeufe,
où les salons étañent décorés de rûses
et de verdure.» Un suceulent dîner et
{is en voyage nor une Quinzaine chez
leurs parents et amis de différentes
bre de jolts et riches cadeaux, Nous
ré, atst Que sa filetté Fita, étwit à |
étajl, aussi, la
des bent! des. tai
6e. confé:
x as se
%
»
nous, engagea à nos
emple de cette ER
tré volonté. ee ne-doutons
Le soir
coup de simplicité et. d'6
me, l'histoire dela:
droits des Cañadiôns francuis,
“xHida
Sur l'invitatidt: de n
l'abbé Sabourin; qut a
avoir fonné un
HAT de la vie de sainte Tage il
5, 34 Yex ei
S Sont
et ar no
ce sermnn si pratique porterà d'est
lents fruits dans toutes les familles...
à, huit houres, là salle du
convent se rémplit de parents et d'æ f
mis avides d'entendré leurs: enfants |?”
pen une lego d'histoire du Canada.
Les élèves des sixième, septième et
huitième grades racontèrent avec | beat
éloquence prié.
domination angiaf.
se, en faisant ressortir surtout les
récits, entremélés de chant# patrioti-
ne parurent pas trop} longs à
ta so1 à
is ar D
rQbae
e- jus un chef-d'oeuvre.
ge tré’ très. cob | 1 ‘déià ‘quant aux répétitions aë-la|
man de ses latente accorda-un Fr 8
grand: congé pour le lendemain. 7 Hu Li:
> pastetir. M.
deu l'aimavie 44, Domitifon@uiar 14/25 pour Aécta-
, à kette: petite troupe |.
M ÿ | Viienenee,: omtlidre agrt | omplaisance. d'assister à cétte leçon | Mer, / Pncourager
côte, Yieidra à Sainte-Ânne, &immanche | d'histoire, dnfR@ préniré ‘læ parolé, | Qui s'est ‘attaqués’ une ‘telle oeuvre
Arrneus ser vit: dlbrs uné autre pièce
#'h: du ! Pélaauence: basde sur l'histoire et bien gaîse du vrai théâtre français.
propre 4 nchs fetsuader que noùs de
| vons êtré et rester Canadiens francais,
en tout et toujours.
#
LE L2 D
B'orchestre et ln fanfnre traviilient
formé pour la partie de cartes du 22
février, afiu dé donner un vrai régal
artistique. Vonez en granG-nombre
ne seraitce que pour entendre ln mu
sique.
L2 L2 L2
L'Association des Fermiers-Unis te
nak su réunion. dnnuelle d'actionnai
res, mardi le 10 février, Tous les mû
mes directeurs ont été réélus. M. EX
Parent, dans un vibrant discours, a
fait. un abpél partleulier aux pétion
haires. en. leur. demañdant d'éncourn!
ger cette association, en la/fuvorisan!
de leurs achats au lieu d'aller acheter
Quieure
. »
Dans une fête F AO et tamiitdie.
“Mf-et- Mie Mafiias-Pittion ont CT
bré leurs noces 'd'argént d'union con
an sur À Ù février.
ee . L_ 4
ds Con acçident pst survenu à M
Hfrid Vermeltez. en selant du, bois
x la machine, 11 s'est fait awputer. un
A -ReMCe. purs
Le 1 tévrièr, Mile “dène GaUe
Les Enfaits de Marie et quelques äu
tres ont fait les frais du chant. Le
fête religieuse terminée, les invités st
rendirent nombreux sous le toit pa
Cernel, oÙ'lés attendait Ün suchulen
repas, Au commencement dé cès agf
pes fainiliales, Davhi Granger, é1èvt
ên philosophie au collège et frère de
lh mariée, 5e leva et fit Aüx Wéros di
Jbür une adresse bieh sentle et satu
rée de sentiments délieats et frater
tels. 11 félicita chuleurausenient le
“lus de. la circonstance de leur. ehoi
respectif, des principes profondémer
chrétiens qui les animent; 1! loui so:
haïta longue vie, bonlieut el courag
fans céite voie où aujdurd'hnt à
éueilleront des roses et peñt’tre (dk
main dès épiues”". Dans cette adres
:\Wbratoñt les Joles dhrétionnes de ll;
+ iménée, les! regrets du départ et les
douleurs de la séparation de là famille
qui chérissait tepdrement cite soeur
pour uw endroit éloigné, 11 ft anse!
du marié un'éloge bien mérfts. Ce ne
fut, que tard duns Lu D que se tér-
ünissait, Aux pieds des outels, sa tes
“Unée-à M. Wilfrid Auger, de Dojlard |
Sask,, La messe nuptiale, à laquelle
@paistaient un grand nombre de pa
rents et d'amis, eut lieu à dix heures
ns Sninte-Amélie, Man. unissdit
L
LAURIER
fait preuve dans l'organisation dé leur
soirée de caïtes devait nécessairement
aboutir à" ‘un franc süécès. La veillée
du 12 février nous A procuré un agré-
1ble” passe-temps et à augmerté consi:
#rablement li somme en réserve pour
‘avhèvoment de notre! sülle,
Les brix “qui fürent d'un goût choi
1, ont fé gagnés par Mile Anna Bpu
‘etet M, Edouard Coté, À la raie’ la
chance dénma une trés belle horloge
» M. Antoine Boulet et une bouilloire
" nickel à Mile Henriette Côt£
Les jeunes filles ont malatenani la
tâche de noùs dünner Ii deralère-par
Hé de cartes ayant. le carême, 11 fav
1ra un: coup de collier! Blles le-don
neront volontiers, n'en doutons pas
L1 + +
M. Jules Deschènez, notre chef üc
sare et notre maître de chant, fous 2
luittés dernièrément pour se rendre
“Manche Breton. L+ correspondant lo
Al nous énvérra sans doute des écho:
e la belle cétémenia religieuse qu’
l'est déroulée dans l'éElise de Mont
vartre, Enattendant de les lire, pou
vübaitons à M. ét Mme J. Déehén ci
onheur et prospérité durant de lon
rues années 3
TE RE -De———
té
À Nomination
Depuis le ds ‘part de. M. Ô. Charbon
10e, il mariquait un commissaire ay
Ustrict scoltire de Sainte-Rose, Le
ontriltiables de cet arrondissement
*” réunissaient en très grand ombre
la salle de l'école, jeudi, soir le. 12
vrier, M, le Dr Henri Gosselin, pre
osé par M. Albert Couillard et secdn
16 par M. Napoléon Züste, ef M.
eph Velcount, pronocé par M Fer
Saurélte et secondé par M. Thomag
Danje,. furent les deux candidats not.
mês. Nous aurons done une élect
La campagne élpctorale, pour courtg
qu'elle soit, promet d'être très active
et intéresarntte. Le jour de la votation
est fixé pour le 26 février, à la sale
municipale, de 9 à. am. à 8 h. pm. "
Mariage: i
Le 19 février, M. Edouard Brelard,
destinée, à celle de Mile Magié-Aldir
à Montmartre, Sask., où le: 19 courant
il unira sa destinée à celle de Mic
D ET
gné de notre curé et de MM, les
conimissaires -d'école T. Joyai et S.
, Beaudoin, faisait subir aux élèves des
L'activité dont nos jeunes: gens ont | examens qui furent très satisfaisants. | franc sugcês. Les ‘membres de lui cho
A 11 h;, la troupe joyeuse des écoliers
se Mâta d'aller jouir. de son congé,
se assistance témoigna l'éstimé e
préciation ° des habitant: de
Agathe pour cet ami d
vateurs. 28)
CR SET ET
SAINT- PIERRE
& a
Bruneau, agent
macros À coddré Singer,
ment interromph son ouvrage,
malade à l'hôpital 'Safnt-Roch,
‘e 1 février.
prompt rétablissement.
TT É -d— ——
TRANSCONA
février
vent à la fin!
ment de: la belle partie de
dés visiteurs de partout.
resque . comble.
vhist furent: jouées et les prix
superbe , prostimme. musica).
pelée_ pfusi
re. Miles Yvonne Morin, Eva
très contents de cette soiréé
bien décidés dy. |reteuréer
Mardi à $ h.. M. I. Villeneuve donna | leur satisfaction et s'en sont allés avec
#a conférence agricole annuelle dans | l'intention “bien arrêtée de revenir
notre sulle 'baroissiale. Une uomibreu. | bientôt à une pareille fête de paroisse.
Bunte
voué des du -
Noùs apprenons | dis, M. Wenceslas | rale envers les généreux donateurs et
de la compagnie des
forcé.
étant
depuis
Partis de cartes, te: dimanche 15
Quelle agréable yeiilée nous venons | ÿ3]" l'organiste. Au nom le la cho.
le passer, À la salle paroissiale de |raje ji] présenta à M. Héltié un bâton
Transcona! Quel brio du commiéncks de direction, et à AL Dorval deux ma
Nous étions environ £üifiques pipes. C'était une. marque
40 des clubs de. raquetteurs Saint: d'amitié
fghace et Saint-Edouard; nous sommes | tion dés membres de la {chorale pour
arts de Winnipeg, les ns en, ao | ceux qui les dirigent.
MS, les autres à pied; er avec. cela,
versonne en retürd pour le-commen cartes,
cartes
‘Grand entrain comme toujours bl bois”.
La sale étai
Douze iudin .
| ee
furent
décernés aux gagnants suivants: Miller de ces nactèurs sur:la scène provoqua
Rose Audette et M; Péletior, MM
täwond Grégofre et Browürigs.
Un succulent goûter fut ensuite ser
vi, et après. s'être régalés, ii y eut un
Mile
Grace Miller a jolimehs interprété dés lenthantement -
morceaux très difficiles. lle fut rap } ment immédiat procuré p
eurs fois. Milé Marengo | rérnède de Pasthme du
chantn avec besucoup d'art et sut cap: Mar est
ter les applaudissements de l'auditoi
Foro 1e
ét d'autres aidèrent "à compléter ce
migaifique programme artistique.
Nous sommes revenus à Winnipeg | Le
pangée
vec nos bons amis de Transcona et
A ga Le
|
Nous Jui souhaitons un invita Mgr: KArchetêque à porter la
sur ceux au-dessis dé
pénis a été adoptée. Un avis
ddération av6t4 donng par: !
Doucet. JH-a donné pour
de. cette cs à le sort d'
‘Le réglement ‘de la balance ee ar
gent dû sur le prélevé de 1924 pour
ns d'admintftration scolaire, ep souf- |
RU US à le Fa le
C'est lundt- prochain, le 23, que sera
jouée ia pièce WiWdmond Réstand,
Ceux qui connaissent l'oéuvré de ce
poète kant int à à Vis aw'élle est
Lés nouvelles qui nous “viennent de,
sont des Sani nm [
us eue
tôle seb 2 pre pet Afud toüs ‘se rendent
n'ont pas de ‘chance... ‘
SRE PE LE
4) 118 |
‘Concert- He,
LVL TN #
Dindacliat soir, je nie à fi
faré La Vérendrye donnera tn concert
ddns la salle du Collège à 8. b, A0
L'entrée est gratuite.
— Aion encouragés cés liens ati
rtie de cartes de la Cho-|
rale au Collège [se sont toujours prêté: avét emptes. |
sértent À rebaus cr nôs fêtes religleh /
La soirée dé Stands" &- té un fses ci hè ticns!ex “En sus du program
ne. musical, M, l'abhé J.-A, Sabourin, |
chancelier du diocèse, doïinera uhe
conférence: :#‘De hotre . mentalité”. 4
C'est un sujet qui est très” intéressant. 230, RUE MAIN.
Venez entendre le conf et vous il. RAA AA
repartirez avec déa/notions exactes de
ce que doit être notre mentalité cana-
dienne-françatse. pi
: Voict le proframme-de la s6irée;
‘Marche réumainé: “Botdanu”, nue
rine, "
Ouverturé: “La reine des fours”, H:
Mestdagh. tu 7
Caprice; “Solitude”, 8, Mercadante,
Chant: “La flañcée du: soldat”, C.
immiiuidé: Mile Mürle Benoit.
air amie,
Pot pourri d'airs américains, arr, M. | four employer EE oi sauver
Beyer.
“De notre, mentalité”,
Conférence: Achetez ourd’hui une bouteille n L 3,
A, s
M. l'ahbé J-Ad, Sabouris, chancelier à nee ai. de re
Yu diocèse de Saint-Boniface.. à 'éerives. mn
| Roped espagnol: “Au-delà des Py- ]
L.J Baudouck, | cdi po
Chant: “Dieu bônit celut qui donne”, D TT ae 2 HOMME
XXX: ‘M. Raphaël Pinvidie. , M a RER.
Valse lônte, A. Mahy. IR } . ("SR
Fantaisie: “Ars canadiens”, art. L-|1l.: AATIAN tATITNAR & 1 À ne
afin dé donner à notre popülation fran-
On peut réserver les ‘places à 1a Lt:
bräirié Kéroack, Ltée, Winninog.
« és —— 440 L A " ‘47!
eds ds RAT
Parfum d'aller. :...,.
rale ont lien. d'en être, flets:
C'etx
qui y ont assisté n'ont pas dissimulé
M ligio lee usée #4 ae à 0 0,8
L'entrain, —a gaieté ont régné pa
toute læ soirée.
“Au début M: le ‘président 3.-L Tru!
dlekù remercia tous ceux qui avaïent |
trâvaillé à l'organisation de cette fête
et à l'élaboration dit programme, Il
expriron la, reconnaissango de la cho.
—cela depend dé. ré
pairs ma
d'un. homime n+
envers la population de BSaint-Boni
frée-et de Winnipeg qui avait répondr
avec tant d'empressement à l'invit
tion de la chorale. nr terminant, i!
üUx premiers
parole.
Sa Grandefr, en quelques mots, re
mercia. et félicita la chorale u'-bon
travail qu'elle fäit pour relfausser nos |
cérémonies religieuses, ]1 signala
tout particulièrement le dévouement
du. directeur, M. Hélie, et M. Dor
P:
“O Canada”. s
Directéur: Joseph Vermander:
piano, M. Benoît.
Les revenus de £e concert vérriront!
Aù
et un téfiotgnage
d'admira
‘Imnlédiatement après la partié de
nm, chorale éxécuta deux
“Fränçe” et “Le cérf au
Ces deux choeurs turent très
appleudis.
Le quatuor improvisé clôtüra cette.
belle vetillée dé familles, L'Apparition
choeurs:
magie MecRuér) éu commencement | de
la semaine prochäine.
“….
"Là Cour
‘No 262 de 1'@râie|
uü éclat de rire £énéral, Ils duren
revenir, à plusieurs reprises, car les
Chasse l'asthme comme par
Le sa
ce est pee
les Ing “
7 NE ATSS. ellès
quelle est ce monastère, a pt
s d'hiver à survélller les raraux
et: À régler les difficultés financières
de l'entreprise heureusemett menée. à
boïne ff. Ajoutons ‘que, ‘la nouvelle
anflexé, à l'épreuve du fe, fait. hôn*
25 pi dons re A E FES
Tous. sont invités À venir paster “Le bilinguisme nécosire
[une agréable soirée qui commencera
ns con acc anus © Lu ular de RCE T
TE ah :
* L'hôtel Impérial, rüe lai, dont la | glaise d'Ontario devraient apprénäre | :
construction remontait à 1881, a êté le français, et les gens de
détruit par un incendie dimanche ma: caise. de Québec devraient
.|tin; dans là nuit,.avee plusieurs j1na- | l'anglais, ce qui produirait une réelle
unes: orsanisé À M. AR. Paguin..
ls eq Gin, #
bLesigene ge
Qny. Vanier, path
cath qua
ES one
| Déstüiniers qui a donné sa démtenion
comme président| à cause de ses noi
‘breusef occupations.
M; HenryrAuger à été- ehoist-à -
l'unanimité comme: deuxième. vice.
neur, au! constructeur, M. J-Albert !
Tremblay, de Winnipeg.
—— 2 20-2 —
Récital Dostert
Mlle Yvonne Thibault, soprano, as-
sistera Mile Annette Dostert, pianiste,
à son récital qui aura lieu lundi Je
2 février au “Mysie and Arts Bldg."”
#'h. 30._Mma G. Beauchemin açcom- cu.
ét Popese mu pion pe Rien
#t Programme 114
| Prétude et Fugue, D bbir, Bach
: | Busont.
« Fr Nocturne; “inde 0. 10 no 10; An-
spianato: et Polonaise op. 22:
Chopin:
: #Valse de Musette” den Bohème,
Puccini; “Oh! si les fleurs avaient des
yeux”, Massenet; “Habanera’! de Car-
men, Bizet.
Sonate op. 57, Macdowell,
“Sylvian", P. Curran; “The Star”,
Rogers; “Rain”, Ronald.
- Sarabande, Debussy; El Alhaici,
Atbenise: Concerto B bémol mineur
(ier mouvement), Tséaikowsky.
Deuxième piano: M. L-D. Henton.
+ DAT ee à A SNEMEES
k. Pésauiniérs, président dé-
misbonaaire, devient directeur de la
Soc)
rt 0-4 0D0-2——
bus 2 à M. Edouard
tpetit ï
| Montréal — Les g cp SE élèves de
des sciences sociales, économi-
et politiques, bar un banquet qui
sb) au Windsor l'élité univér.
sitatre fütour de M. Edouard Montpe-
tit, Jui ont rendu un magnifique hom-
mage, à l'occasion de son prochain dé-
part pour Paris où i} donnera une série
da cours, en Sorbonne, sur le Canada.
_Le plus grand enthousiasme a marqué
cette fête qui rapprochait plusieurs des
orateurs les plus appréciés.
M. Edonard Montpetit, après avoir |
remercié ses nombreux amis, a tracé
à son auditoire le programme des
cours qu'il entend donner à la Sor-
bonne: 1] y traitera d'un sujet d'une
haute envergure et qui lui est familier
depuis longtemps: da survivance des
Canadiens français.
Les autres orateurs ont été Mgr Piet-
te, MM. Raoul] Dandurand, E.-P. Pate-
- [de poteaix tidiéators.:et à l'entretien Se
gasins
i; #11 Re = GANAD, Di | À sou ise A0 7 gt
MENU (EE. RU mass a tic TT RER
ETES
prix
de. libra
ie
dre {
nts. Les dégâts sont éva- | unité de races, un commerce {ntetpro- R
tués à $100,000. Les personnes qui | vincial plus considérable : A à sh
se trouvaient dand)l'hôtel sont saines nement des jeunes gens, qui 0
ét sauves, mais q unes ont pér- | porter le. drapeau
+ [ait Get Shsnatcieeen. esta seule
14 Perte du Dôtisin qui ne possède
point de ligie 48 6e Yenre qui veille
Tai éontértides surtétès; à l'nstétiation
sues, ce serait la cinquième
tessource naturelle du pays
dé bonnes cas Elle démande des |! Vus
milliers pa) et l'envoi de dé:
re ficonrenuon dut
les 25, 26 et
légués: à nu
séra en À
d1 tévrier, en mèênre témps que
des commissaires d'#cplés.
STONE
| Ve vblle dame 5m
ui net
celle désires?
Le garçon — Je viéns pour la #6
compense de 60 sous que. vous avëéz
promise À celui “Qui vo vous rapporteralt
votre serin, /
La vieille dame — Mais je ñe comn-
prends pas, tu m’apportes là un chat.
Le garçon — Je le sais bien, mais
est dedans, je l'ai bien yu au
t où le chat l'a mangé. : ,
j J . . « '
Soulage ra rapidement toux et
catarrhe -- “Mon mari. avait
une es mauvaise foux”, 6€ '
Suicide par se feu
}Teulon, Man: —-John Negrych, un
termier ruthène d'sdistriet de Teulon.
est mort à la suite de brûüluyes qu'il
s'était infiigées. II fit un tas de paille,
l'imibiba de gazoline, y mit le feu et
se jeta dedans. ‘Un voisin, qui allait! |
rendre visite à Negrych, le trouva se à
traîtnant dans les cendres et horribie-
comme e ie -
Ottawa — M. Arthur Lemont, autre- tement: Je Ame le nca
fois rédacteur au “Canada” et au “So- à üine amie dui mé demanda de
leil”, püis directeur du bureau de ra- lui en donnér r parce que soni bé:
patriement aux Etats-Unis, M, Alonzo |f£ souffrait du catarthe: Dans !
Saint-Mars, correspondant parlemen- |... ussi
taire de la “Presse” à Québec, M. Pier: ° eme 2 ne ra0t tri À +
re Daviault, correspondant parlemen: |
meilleur m
{taire de la “Presse” à Ottawn, et M ure _: santé aintenant
Ernest Shenck, qui'fut aptrefois de la ges a, pes dd cs
rédaction. du ‘’Deydir” et du “Natio- chanteme nt, mais pour le faire
naliste” et subséquemment pübliciste dispar aîtré” dé la même façon
À. Montréal, viennent étre! nommée Los se in problème que vous ré-
traducteurs aux Débats à Ottawa, soudréz- mieux en ayant tou-
re Dee
jours ‘chez. vous üne boutéillé
Un monument à un amiral de cette vieille préparation vé-
français au Pérou gétale. Ce remède de famille
si favorablement expérimenté
*'Bônne pote Kobe"
s0np6,, mon : enfant, -qu'est-ce, que tu |.
| Marchandise gi snrantie
Lund Doutevaté Dollars, Sais Saint-Benttace
MARCHAND D TAILLEUR + #
Téléphone à
188, ave. Pravenchens,, Saint-Boniface |
LA PR à
sur moeurs
Æ
v
‘extra: :#95.00 :
De toutes nuanoës et différents .
matériels
«
Coupes pour satiefaire tous es goûts
a ———
Des. blancs de commande pour me-
sures sont envoyés.sur demande; ainsi
que ‘des échantillons. Mentionnez
ne, ra , «
Ligue des Dames Auxiliaires naudé, Athanase David, Fernand Rin-
dos Vétérans français t tret, L-3. Dalbis, Hector Perrier.
M ——
Lima, Pfrod — Récemment à eu
Hep l'inauguratlo, dépuis longtemps
projetée, du monument que Ia ville dé
Lima avait décidé d'élever à la mé-
moiré dé l'amiral Dupetit-Thouars,
dont la généreuse attitude l'avaii em-
pêchée d'être bomibardée et pillée lors
est aussi effectif pour les vieil-
lards que pour la jeunesse. -Il
guérit vite. Vous ne le trou-
verez pas dans les pharmacies,
des agents spéciaux le fournis-
sent. Ecrire au Dr Peter Fahr-
Charles ef
Maison de Fourrure
MANTEAUX DE FOURRURE, rouRs
s DÉ 00,
salles des Chevaliers de Colomb (bois ;
des rues Graham ét Smith). De beaux
seront offerts aux costumes ‘les
"LMAISONS À dre
RAS st. ve
Montréal —- Le conférencier à la
séance de couronnement des “Prix
d'action intellectuelle”, le 19, sers, M.
Hevuri Bourassa.
En outre, le président général de
l'A. C. 3. C. fera cohnaître la décision
du jury, proclamera les heureux lau-
réats et indiquera les mérites de leurs
oeuvres. Le R. P. Louis Lalande, S.J.
recteur du collège Sainte-Marie, séra
Saskatoon — Le club local d'auto
spéciale | mobilisées vient d'envoyer quelques
de la guerre avec le Chili (1881). Cette
cérémonie, qui coïncidait avec celles
auxquelles a donné lieu le centenaire
de la bataille d'Ayacucho, s'est dérou-
ney & Sons Co., 2501, Washing-
ton Blvd, Chicago, Ill.
Livré exempt de douane au
Canada.
Saint-Boniface — Forum
ements im
“ avre À age veus
T ambetle: Sbop
MANCHONS, ETC.
Faits sur commande, pour satsare ous 16 gts
REMODELAGE DE TOUT GENRE ?”
Mes salons, détruits lors de l'incendie de À es Werner, sont
maintenant inftaliés à j
191, AVE. PORTAGE- EST, ho o |
| BESOIN DE Es
K “par Voie Ferrée ou par